Vaccin contre le cancer du col de l'utérus
Vaccin anti-HPV contre le papillomavirus humain
Le vaccin Gardasil®9 de la société pharmaceutique Merck, Sharp & Dohme AG, est le seul vaccin sur le marché suisse en 2023, approuvé par Swissmedic en 2016.
Le premier vaccin Gardasil® (à quatre souches) a été approuvé en 2007, mais n'est plus disponible, étant remplacé par Gardasil®9.
Gardasil®9 est présenté par Swissmedic et l'OFSP comme étant un vaccin «sûr et efficace» pour la protection contre le cancer du col de l'utérus et contre les verrues génitales, dès l'âge de 11 ans.
Il n'y actuellement aucune preuve que le Gardasil® peut prévenir le cancer. Dans certains pays où la couverture vaccinale est élevée, non seulement le nombre de cancers du col de l'utérus augmente, mais la tranche d'âge touchée est plus jeune.
Actuellement administré dans de nombreuses écoles pendant les campagnes de vaccination cantonales, visant les enfants dès 12-13 ans (9ème année), il est important que les parents et les enfants soient informés des risques.
Les enfants dès l'âge de 12 ans «capable de discernement» peuvent choisir de se faire vacciner, contre le gré de leur parents. Avec la pression des pairs et une documentation biaisée des autorités qui ne reconnaît pas les risques et les limites de ce vaccin, il est essentiel de s'éclairer.
Voir la notice d'emballage, à lire sur le site compendium.ch
Gardasil®9 > 2-3 doses à CHF 254 par dose, remboursé par LaMal. Selon les cantons, le prix par dose a été négocié en baisse pour ~CHF65.
Qui est responsable de la campagne vaccinale en milieu scolaire ?
VAUD : Unité de promotion de la santé et de prévention en milieu scolaire (Unité PSPS)
GENÈVE : Service de santé de l'enfance et de la jeunesse (DIP – SSEJ)
FRIBOURG : Service du médecin cantonal (SMC)
VALAIS : Promotion Santé Valais
NEUCHÂTEL : Service de la santé publique
JURA : Unité de la Santé Scolaire
Qui est responsable des recommandations vaccinales au niveau national ?
Que contient ce vaccin?
Principes actifs
Protéine L1 de papillomavirus humain(1) de types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52, 58(2,3)
(1) Papillomavirus humain = HPV.
(2) Protéine L1 sous la forme de pseudo particules virales produites sur cellules de levure (Saccharomyces cerevisiae CANADE 3C-5 (souche 1895) par la technologie de l'ADN recombinant.
(3) Adsorbée sur sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe comme adjuvant*.
Excipients
Chlorure de sodium, L-histidine, polysorbate 80**, borate de sodium***, aluminium sous forme de sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe* (0,5 mg Al) et eau pour préparations injectables.
Une dose contient 3,78 mg de sodium.
*un adjuvant breveté par Merck qui contient 500 mcg l'aluminium conçu grâce à la nanotechnologie et est hautement inflammatoire.
**le polysorbate 80 a été impliqué dans un certain nombre de réactions systémiques (par exemple, hypersensibilité, anaphylaxie non allergique, éruption cutanée) et d'effets indésirables au point d'injection et de perfusion. Il a également été impliqué dans des cas de toxicité rénale et hépatique, et peut contribuer à augmenter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique.
***la toxicité sur les fonctions de reproduction de l'acide borique et de ses dérivés tels que le borate de sodium sont connues.
Malgré le fait que ce vaccin soit totalement nouveau, il n'y a jamais eu de comparison avec un vrai placebo inactif pendant les essais cliniques avant l'autorisation du vaccin Gardasil®.
Dans les documents cliniques, Merck a utilisé à tort le terme «placebo» pour décrire des substances contenant de l'aluminium et une solution porteuse, contenant tout sauf les composants pseudo-viraux.
Aucun véritable placebo n'a été utilisé dans les essais cliniques réalisés avant l'autorisation de Gardasil®
Est-ce qu'il protège contre le cancer?
Les études cliniques de Merck
Gardasil®9 n'a jamais été étudié pour analyser sa protection contre le cancer du col de l'utérus. Ce type de cancer touche typiquement les femmes de plus de 50 ans et se développe sur plusieurs années, voire des décennies.
L'efficacité a été jugée sur un marqueur de substitution du cancer du col de l'utérus : les lésions précancéreuses. Les lésions ne sont pas toujours associées à un cancer et peuvent être traitées. Des frottis réguliers permettent de détecter les cellules anormales avant qu'elles ne se transforment en cellules cancéreuses. Le fait d'être vacciné n'exclut pas la nécessité d'effectuer régulièrement des frottis.
Basé sur les études cliniques de Merck et la surveillance post-marketing, il est impossible de dire que le vaccin anti-HPV puisse prévenir un quelconque cancer. Par contre il est possible d'observer des dégâts importants sur la santé.
Le potentiel cancérogène et mutagène du vaccin Gardasil9® et de ses composants n'ont pas été étudiés, ni leur capacité à nuire la fertilité ou à endommager l'ADN.
Quels sont les effets secondaires?
Effets indésirables
Inflammations, évanouissements, maux de tête, vomissements, diarrhée, troubles du sommeil, fièvre, douleurs musculaires, convulsions, paralysie, sclérose en plaques, purpura thrombocytopénique immunitaire, maladie de Guillain-Barré, encéphalite et décès.
Gardasil® a été autorisé aux États-Unis (par voie accélérée) en 2006 et en Suisse un an plus tard. En 2013, le programme national américain d'indemnisation des victimes de vaccins (VICP) avait accordé USD$ 5 877 710 à 49 victimes des vaccins contre le papillomavirus humain (HPV).
Selon le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) des Centres for Disease Control (CDC), à la mi-août 2018, il y avait au total 59 226 notifications, 8 682 graves, 16 380 visites aux urgences, 432 décès et 142 cas de cancer du col de l'utérus.
De 2006 à 2018, environ 33 millions de personnes, principalement des jeunes filles, ont été vaccinées avec Gardasil® aux États-Unis. Il y a eu en moyenne 411 rapports VAERS, 113 visites aux urgences et 3 décès par mois.
Il a été rapporté que 17 jeunes femmes sont décédées au cours des essais cliniques du Gardasil®, mais tous ces décès ont été considérés comme n'étant pas liés au vaccin.
Expérience Post-marketing selon la notice d'emballage pour Gardasil9® aux États-Unis :
Le mot 'décès' est placé entre frissons et fatigue. Ce mot n'est pas traduit dans les informations fournies par le Compendium Suisse.
https://www.merck.com/product/usa/pi_circulars/g/gardasil_9/gardasil_9_pi.pdf
Annonces d’effets indésirables en Suisse
De 2007 à 2014, Swissmedic a enregistré au total 167 annonces, provenant de notre pays, de suspicion d’effets indésirables liés aux vaccins HPV. Gardasil® était concerné dans 164 annonces, ce qui peut s’expliquer par le fait que la part de marché de ce vaccin est supérieure à celle de Cervarix® qui n'est plus disponible en Suisse.
Depuis 2010, 10 à 30 annonces sont enregistrées chaque année. Ce nombre a été le plus élevé (61) en 2009 parce que, selon Swissmedic, des événements «non graves», non soumis à déclaration obligatoire, ont alors été systématiquement enregistrés et transmis au niveau régional.
Sur les 167 annonces, 62 % ont été jugées «non graves» et 27 % ont été qualifiées de «médicalement importantes». Dans 11 % des cas, des conséquences plus graves, comme une hospitalisation, ont été signalées. Aucun cas de décès n’a toutefois été annoncé.
Les Rapports Swissmedic de Vaccinovigilance
Les chiffres pour les effets indésirables annoncés suite à l'administration du vaccin anti-HPV sont présentés dans les rapports de Vaccinovigilance.
2021
1 x grave-médicalement important
11 x pas grave
2020
4 x grave-médicalement important
18 x pas grave
2019
4 x grave-médicalement important
11 x pas grave
2018
8 x affections du système nerveux
3 x infections
5 x conditions musculo-squelettique
2017
Les chiffres exactes sont plus difficiles à identifier.
Swissmedic estime que seuls 10% des effets indésirables sont déclarés, donc les chiffres publiés de la vaccinovigilance ne représentent pas la réalité du terrain.
Annonces d’effets indésirables au Royaume-Uni
De mai 2006 à septembre 2020, par le système de vaccinovigilance Yellow Card, 9’628 effets indésirables sont annoncés, dont près d'un tiers sont liés avec des troubles neurologiques. Il y a aussi 9 décès déclarés.
Annonces d’effets indésirables de l'OMS – VigiAccess
Les effets secondaires potentiels signalés selon l'OMS au 3 septembre 2023 sont indiqués ci-dessous. Il manque le nombre des doses administrées en Europe, en Suisse et aux États-Unis à ce jour.
Aux États-Unis, le nombre des effets indésirables de 2006 à juillet 2022 est montré ci-dessous par un cabinet d'avocats qui représente des victimes du vaccins anti-HPV.
Il existe un recours collectif contre Merck pour son vaccin Gardasil® aux États-Unis, avec plus de 35 plaignants.
Il y a une vaste nébuleuse de conflits d'intérêts qui entoure ce vaccin anti-HPV – de la découverte du virus, jusqu'aux essais cliniques et à l'autorisation de ce produit génétiquement modifié.
Conflits d'intérêts ?
En bref
Harald zur Hausen, le virologue allemand, émet l’hypothèse que les papillomavirus humains (HPV) jouent un rôle important dans le cancer du col de l’utérus. En 1984, il débute des recherches sur un vaccin anti-HPV. Son approche scientifique a mené au développement d’un vaccin contre le HPV.
En 2008 il a reçu le Prix Nobel de Médecine, mais quelques jours avant la cérémonie officielle, l’Unité nationale anti-corruption en Suède, menée par le procureur Nils- Erik Schultz, annonce aux médias qu’ils vont examiner des soupçons de collusion impliquant l’entreprise pharmacéutique AstraZeneca et deux membres de l’Assemblée Nobel. Les conflits d’intérêts, n’étant pas considérés comme un délit, n’ont pas permis une base suffisante pour ouvrir une enquête pénale.
AstraZeneca a achété MedImmune en 2007 et est devenu propriétaire de ses brevets liés au vaccin anti-HPV. Donc AstraZeneca a des intérêts financiers directs liés au succès commercial des vaccins anti-HPV. AstraZeneca sponsorise deux sociétés affiliées à la Fondation Nobel; Nobel Media et Nobel Web, sociétés actives dans la communication. Deux membres de l’Assemblée Nobel avaient des liens avec AstraZeneca; Bertil Fredholm et Bo Angelin. Bo Angelin siège depuis 2007 au conseil d’administration d’AstraZeneca en tant que directeur non-exécutif.
« De fait, le Nobel a surtout constitué un formidable coup de pub pour les vaccins et les firmes qui les commercialisent. Un Nobel pour zur Hausen, c’était un Nobel pour le Gardasil®. En matière de communication, impossible de faire plus fort. » – La piqûre de trop, éditions Xenia
C'est quoi le HPV?
Papilomavirus humain (HPV)
Le papillomavirus humain (HPV) est un petit virus de l'acide désoxyribonucléique (ADN) non enveloppé qui peut infecter les cellules de la peau ou des muqueuses. Au moins 13 des plus de 100 génotypes connus de HPV sont associés avec le cancer du col de l'utérus et à d'autres cancers anogénitaux et à des cancers de la tête et du cou.
Il existe des centaines types de virus HPV, mais tous ne sont pas associés avec le cancer du col de l'utérus. Seuls les HPV dits « à haut risque » le sont : on en dénombre aujourd'hui une douzaine. La plupart du temps, l’infection est transitoire car l’organisme élimine spontanément le virus.
Les facteurs de risque du cancer du col de l'utérus sont le tabagisme, l'immunosuppression et l'absence de frottis réguliers.
Ce vaccin anti-HPV ne contient pas les protéines du virus naturel, mais des pseudo particules virales produites sur cellules de levure par la technologie de l'ADN recombinant.
Le paysage de la propriété intellectuelle pour les vaccins contre le papillomavirus est complexe, avec 81 brevets américains délivrés jusqu'en 2011. Merck détient 24 brevets, suivi de GSK et du gouvernement américain (issu du National Cancer Institute), qui détiennent chacun 8 brevets.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3138722/
Lire l'article ci-dessus avec les références pertinentes.
Demande de révocation de l'autorisation en 2009, lancé par Oskar Freysinger
Swissmedic, qui est en charge de l’autorisation de mise sur le marché et de la surveillance des vaccins, ainsi que l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et la Commission fédérale pour les vaccinations (CFV), qui sont responsables pour les recommandations de vaccination, estiment que le rapport bénéfices-risques du vaccin Gardasil® reste positif.
Informations du Groupe Médical de Réflexion sur les Vaccins
infovaccins.ch
Vous voulez savoir plus?
UNE ENQUÊTE APPROFONDIE
La piqûre de trop : Pourquoi vaccine-t-on les jeunes filles contre le cancer du col de l'utérus ?
par Catherine Riva / Dr Jean Pierre Spinosa
Le vaccin anti-HPV, un cas d’école de pharma-business?
Le vaccin anti-HPV, également appelé «vaccin contre le cancer du col de l’utérus» a été salué comme une avancée médicale extraordinaire. Mis sur le marché en 2006 aux Etats-Unis, dans l’Union européenne et en Suisse, il a rapidement été inclus dans les calendriers vaccinaux de nombreux pays industrialisés, au motif que le cancer du col représentait le «deuxième cancer le plus meurtrier chez la femme». Aujourd’hui, plusieurs dizaines de millions de doses ont déjà été distribuées et de nombreuses campagnes nationales de vaccination sont en cours. Jusqu’il y a peu, les jeunes femmes qui envisageaient de séjourner aux Etats-Unis devaient montrer la preuve qu’elles étaient vaccinées.
Mais le cancer du col est-il véritablement un problème de santé publique dans les pays riches ? Que sait-on de l’efficacité et de la sécurité des deux vaccins disponibles ? De quelles données cliniques dispose-t-on réellement ? Et surtout, comment ce vaccin a-t-il pu s’imposer à une vitesse aussi foudroyante, en dépit de son prix record ?
Ce livre remonte la piste d’une success story inédite. Il fait le point sur les connaissances, détaille les résultats des études disponibles, les questions qui restent sans réponse et le fantastique dispositif de « sensibilisation » mis en place par les fabricants. Enfin, il pose la question de la vaste nébuleuse de conflits d’intérêt qui entoure ces vaccins et souligne la difficulté d’obtenir des informations à ce sujet.
De nombreux éléments mis à jour dans cette enquête n’ont pas été communiqués au grand public. Cet ouvrage est destiné notamment à tous les parents que l’on encourage à faire vacciner leurs filles – afin qu’ils puissent prendre leur décision en toute connaissance de cause.
UNE ANALYSE SCIENTIFIQUE
Les vaccins contre les cancers
par Dr Michel de Longeril
Nous n’avons aucune évidence ferme que les vaccins antipapillomavirus diminuent le risque de certains cancers, notamment ceux du col de l’utérus. En fait, l’ensemble du raisonnement est très simple : il est impossible de démontrer un effet anticancer d’un quelconque vaccin.
Selon les experts, pour empêcher l’implantation d’un papillomavirus cancérigène sur le col de l’utérus, il faut vacciner AVANT toute infection/exposition aux virus.
La cible de la vaccination est donc les adolescentes avant les premiers rapports sexuels. C’est un premier point. Il faut environ 15 ans, à partir de l’infection, pour qu’un cancer se développe.
Aucun essai clinique testant un vaccin n’a duré 15 ans ; et ne peut pas durer plus que 3 ou 4 ans pour diverses raisons méthodologiques qui sont expliquées dans ce livre.
Conclusion inéluctable : l’hypothèse anticancer ne peut pas être testée avec nos méthodes les plus sophistiquées.
UNE INVESTIGATION APPROFONDIE
Hystérie vaccinale: Vaccin Gardasil et cancer: un paradoxe
par Nicole et Gérard Délépine
Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a pour objectif officiel de diminuer la fréquence des cancers du col utérin dans les populations vaccinées. Pourtant ce cancer est rare (moins de 3000 par an en France, pour 1000 décès) et prévenu à plus de 80 % par le dépistage. Quand aucune urgence de santé publique n'existe, pourquoi les agences du médicament accordent-elles des autorisations à toute allure, comme s'il s'agissait de maladies gravissimes ? Pourquoi le Gardasil a-t-il été traité comme un produit d'urgence vitale et bénéficié d'une publicité et d'un soutien massif des sociétés savantes, des experts et des gouvernants ? Pourquoi chaque jour apporte un nouvel article publicitaire trompeur dans les grands médias ? Pourquoi des députés déposent-ils un amendement pour rendre ce vaccin obligatoire ? Pourquoi tant d'émissions répandent-elles la peur chez les familles des jeunes femmes, et bientôt des garçons ?
Autant de questions auxquelles tente de répondre cet ouvrage, en faisant le bilan à 12 ans de la commercialisation sur les résultats avérés, et mettant en lumière la réalité des résultats des vaccinations larges et les confrontant aux espoirs des inconditionnels du vaccin, bercés d'illusions par les modélisations et simulations sur des hypothèses qui s'avèrent fausses.
LIVRE EN ANGLAIS
HPV Vaccine on Trial
par Mary Holland J.D., Kim Mack Rosenberg, Eileen Iorio
Avant-propos par Prof Luc Montagnier
Un exposé révolutionnaire sur le vaccin contre le papillomavirus et sur la science, la sécurité et les affaires qui le sous-tendent.
Partout dans le monde, le cancer fait naître la peur dans le cœur des gens. L'apparition d'un vaccin destiné à prévenir le cancer - comme le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV), dont on nous assure qu'il le fera - a donc semblé changer la donne. Depuis 2006, plus de quatre-vingts pays ont approuvé le vaccin, avec l'aval des plus grandes autorités médicales du monde. Avec un chiffre d'affaires annuel de plus de 2,5 milliards de dollars, le vaccin contre le papillomavirus est un poids lourd de l'industrie pharmaceutique. Pourtant, il fait aujourd'hui l'objet d'un scandale à l'échelle mondiale.
Le procès du vaccin contre le papillomavirus est une histoire choquante qui retrace les efforts déployés à l'échelle mondiale pour vendre et imposer ce prétendu miracle. Le livre s'ouvre sur l'invention du vaccin, se faufile dans les labyrinthes de la réglementation, détaille le déni écrasant et le rejet des effets néfastes et des décès signalés et dévoile les énormes profits que l'industrie pharmaceutique et les inventeurs ont engrangés. Les auteurs Holland, Mack Rosenberg et Iorio se penchent sur les données des essais cliniques, les autorisations gouvernementales, la publicité et les récits personnels de blessures graves survenues dans des pays aussi éloignés que le Japon, l'Australie, la Colombie, l'Inde, l'Irlande, le Royaume-Uni et le Danemark. Les auteurs ont rédigé un exposé sans précédent sur ce vaccin tant vanté.
https://childrenshealthdefense.eu/hpv-vaccine-on-trial-book-review/
PRÉSENTATION
Tout savoir sur le vaccin Gardasil®....
Dr Gérard Delépine
DOCUMENTAIRE
The Vaccinated Girls
Danemark 2015
Un documentaire (en danois, sous-titré en anglais) sur les effets secondaires des jeunes femmes en Danemark.
DOCUMENTAIRE
Manufactured Crisis: HPV, Hype and Horror
Canada 2017
Un documentaire (en anglais) réalisé par 'The Alliance for Natural Health'
L'industrie pharmaceutique a utilisé des recherches erronées, payé des médecins et manipulé les médias pour mettre sur le marché un vaccin dangereux. Elle a exercé des pressions politiques pour imposer ce vaccin au public, en dépit de toute menace publique démontrable. Le résultat a été la dévastation de la vie de nombreuses jeunes filles.
Grâce à des entretiens avec d'éminents experts et des victimes, ainsi qu'à sa propre analyse des vaccins, l'Alliance for Natural Health a mis au jour une conspiration cupide dont sont victimes des familles du monde entier.
DOCUMENTAIRE
Sacrificial Virgins
Australie 2017
Un documentaire (en anglais sous-titré en français) écrit et narré par Joan Shenton et réalisé par Andi Reiss.
Comment les jeunes filles subissent de graves dommages à cause du vaccin qui présente le plus grand nombre d'effets indésirables signalés parmi tous les vaccins existants (avant le vaccin anti-Covid-19).
DOCUMENTAIRE
L'affaire du Gardasil
France (2018)
Un documentaire français qui couvre l'affaire VIOXX de Merck et les dangers du vaccin anti-HPV (Help Pay for Vioxx??)