Mise à jour – mai 2023
Lors du 4e sommet citoyen européen de Bruxelles, les 13 et 14 mai 2023, Chloé Frammery a présenté une toute nouvelle conférence richement documentée sur les 2 armes fatales de l’OMS contre nos libertés fondamentales : le « Traité Pandémie » et la révision du Règlement sanitaire international (RSI). En effet, l’OMS s’apprête à prendre les pleins pouvoirs.
Avec le « Traité Pandémie » et la révision du Règlement sanitaire international (RSI), qui sont prévus d’être adoptés par la 77e session de l’Assemblée mondiale de la Santé, en mai 2024. Les médias n’en parlent pas. La population doit impérativement être informée, et les négociations abandonnées !
L'Assemblée mondiale de la santé #76 – 2023
Documents officiels à consulter
Propositions de modifications – 2023
Les 10 principales raisons de s'opposer aux modifications du règlement sanitaire international que tout le monde devrait savoir sur le "Traité sur les pandémies" de l'OMS :
- Passer d'un statut consultatif à un statut obligatoire : Changer la nature générale de l'Organisation mondiale de la santé, d'une organisation consultative qui ne fait que des recommandations à un organe directeur dont les proclamations seraient juridiquement contraignantes. (Article 1 et article 42)
- Des urgences potentielles plutôt que réelles : Élargir considérablement le champ d'application du Règlement sanitaire international pour inclure des scénarios qui ont simplement un "potentiel d'impact sur la santé publique." (Article 2)
- Mépris de la dignité, des droits de l'homme et des libertés : Chercher à supprimer "le respect de la dignité, des droits de l'homme et des libertés fondamentales des personnes." (Article 3)
- Plan d'allocation : Donner au directeur général de l'OMS le contrôle des moyens de production par le biais d'un " plan d'allocation des produits de santé " pour exiger des États parties développés qu'ils fournissent les produits de réponse à la pandémie selon les directives. (Article 13A)
- Traitements médicaux obligatoires : Donner à l'OMS le pouvoir d'exiger des examens médicaux, des preuves de prophylaxie, des preuves de vaccination et de mettre en œuvre la recherche des contacts, la quarantaine et le traitement. (Article 18)
- Certificats de santé globale : Instituer un système de certificats sanitaires mondiaux sous forme numérique ou papier, comprenant des certificats de test, des certificats de vaccin, des certificats de prophylaxie, des certificats de guérison, des formulaires de localisation des passagers et une déclaration de santé du voyageur. (Articles 18, 23, 24, 27, 28, 31, 35, 36 et 44 et annexes 6 et 8).
- Perte de souveraineté : Le Comité d'urgence serait habilité à passer outre les décisions prises par les nations souveraines concernant les mesures sanitaires et rendrait les décisions du Comité d'urgence définitives. (Article 43).
- Coûts financiers non spécifiés, potentiellement énormes : Rediriger des milliards de dollars non spécifiés vers le complexe industriel pharmaceutique hospitalier d'urgence sans aucune responsabilité. (Article 44A)
- Censure : Accroître considérablement la capacité de l'OMS à censurer ce qu'elle considère comme de la désinformation et de la mauvaise information. (Annexe 1, page 36)
- Obligations du devoir de coopérer : Crée une obligation de construire, fournir et maintenir une infrastructure RSI aux points d'entrée. (Annexe 10).
Rapport du Comité de révision concernant les amendements au Règlement sanitaire international (2005)
Dans leur rapport final, ils déclarent que :
Le Comité recommande vivement le maintien du texte existant "plein respect de la dignité, des droits de l'homme et des libertés fondamentales des personnes" comme principe primordial dans le premier paragraphe, et note que les concepts de droits de l'homme, de dignité et de libertés fondamentales sont clairement définis dans le cadre de traités auxquels ont adhéré de nombreux États parties au Règlement. L'inclusion des droits de l'homme dans l'article 3 de l'actuel Règlement sanitaire international (2005) constitue une amélioration majeure par rapport au précédent Règlement de 1969.
Lire ici un article (en anglais) explicatif des points mentionnés par le comité.
L’Organisation mondiale de la Santé est l’organisme de tutelle et de coordination de la santé au sein du système des Nations Unies. Elle est chargée de jouer un rôle directeur dans les affaires sanitaires à l’échelle mondiale, de déterminer les priorités de la recherche en matière de santé, de fixer les normes et les critères de santé publique, de définir des possibilités d’action fondées sur des bases factuelles, d’apporter son assistance technique aux pays, de suivre et d’évaluer les tendances sanitaires et d’améliorer la sécurité sanitaire dans le monde.
https://www.who.int/fr/news/item/18-09-2018-a-child-under-15-dies-every-5-seconds-around-the-world-
L'OMS est une agence des Nations-Unis, mais fonctionne depuis plus de 20 ans comme une organisation hybride privée-publique et exonérée d'impôts (et revenu exonéré d'impôt pour le personnel fixe) qui opère au-dessus des lois, sans qu'aucune institution ou agence ne supervise ses actions. Cela a été démontré en 2010 lorsque le Conseil européen n'a pas pu poursuivre son enquête sur la corruption au sein de l'OMS après le scandale de la grippe porcine H1N1 en 2009.
L'OMS a mis sur pied un comité d'examen interne composé de 25 experts anonymes et dirigé par le professeur Harvey V. Fineberg, ancien doyen de l'École de santé publique de Harvard et président des Instituts nationaux américains de la santé (NIH). Le comité d'examen a exonéré l'OMS de toute faute dans ses relations avec les entreprises pharmaceutiques et de toute exagération de la gravité de la pandémie de 2009 et l'a même félicitée pour sa réponse à la grippe H1N1. Il a conclu qu'il n'y avait pas de «preuve directe d'une influence commerciale sur la prise de décision» et a formulé 15 recommandations, dont l'une consistait à «encourager les accords préalables pour la distribution et l'administration des vaccins».
Fortement financée par des intérêts commerciaux et technocratiques, l'OMS semble être devenue une extension infiltrée de l'industrie pharmaceutique, au détriment de tous les autres traitements et approches de santé naturelles. On l'a bien vu avec la diabolisation de l'hydroxychloroquine, de l'ivermectine, et même de la vitamine D, dans le traitement du Covid-19. Au lieu de cela, les médicaments coûteux et brevetés Remdesivir (Gilead) et Paxlovid (Pfizer) sont devenus des «standards de soins» adoptés dans les hôpitaux, bien qu'ils soient toxiques et voire mortels dans certains cas.
En général, dans le contexte du Covid-19, l'OMS a privilégié le modèle chinois (confinement de personnes sans symptômes) et un discours de peur, au lieu d'informer le public sur la manière de prévenir les infections et de renforcer son système immunitaire par de simples changements de mode de vie (bonne nutrition, exercise adéquat, réduction de stress etc.) et une complémentation en minéraux et vitamines.
Des produits injectables expérimentaux ont été poussés vers le grand public, générant des milliards de bénéfices pour l'industrie pharmaceutique, à laquelle les gouvernements du monde entier ont accordé l'immunité de responsabilité pour les dommages causés par leurs nouveaux «vaccins». Les mesures prises ne sont plus fondées sur la santé et la science, mais sont de plus en plus influencées par la politique et les intérêts privés.
A ce jour (22 mars 2023), les personnes qui souhaitent entrer au siège de l'OMS à Genève doivent présenter un certificat de vaccination (les tests PCR ne sont plus acceptés), malgré le fait scientifique que les injections anti-Covid-19 ne peuvent pas empêcher ni la transmission ni l'infection au virus SRAS-CoV-2. Et la bibliothèque et les archives de l'OMS restent fermées aux chercheurs externes «en raison du Covid-19».
4 mai 2023
Le Directeur-Général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, détermine que le COVID-19 est désormais un problème de santé établi et permanent qui ne constitue plus une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC).
Elle a duré 3 ans, 4 mois et 4 jours.
Important à savoir
Ten things everyone should know about the WHO’s “Pandemic Treaty”:
- What has often been referred to as the “Pandemic Treaty” is now being referred to as the WHO CAII: Convention, Agreement or other International Instrument.
- A framework convention or agreement can be adopted under Articles 19-20 and require a 2/3 vote, regulations can be adopted under Articles 21-22 and require a simple majority and recommendations can be adopted under Article 23 of the WHO constitution.
- The Intergovernmental Negotiating Body (INB) is meeting Monday, July 18, 2022 to Friday July 22, 2022 to discuss the WHO CAII.
- There were over 36,000 written public comments submitted back in April 2022 and the majority of those comments opposed any form of agreement.
- The WHO cancelled a previously scheduled public comment period in June 2022.
- The INB published a working draft document of the WHO CAII on July 13, 2022 (see below).
- The WHO is focused on a concept referred to as “One Health” that seeks to control every aspect of life on earth.
- People should pay specific attention to Part 4, specifically Section 13 (control of information) and Section 14 (financing) of the working draft.
- Also of note is what is missing from the working draft: there is no evaluation of what went wrong over the past 2.5 years; there is no ban on gain of function research; there is very little focus on health treatments and therapies; there is no patient bill of rights; and there is no support for enabling doctors and patients to make their own decisions.
- Organized opposition to the WHO is needed.
Dix choses que tout le monde devrait savoir sur le "Traité sur les pandémies" de l'OMS :
- Ce qui a souvent été appelé le "Traité sur la pandémie" est maintenant appelé le CAII de l'OMS : Convention, Accord ou autre instrument international.
- Une convention ou un accord-cadre peut être adopté en vertu des articles 19-20 et nécessite un vote des 2/3, des règlements peuvent être adoptés en vertu des articles 21-22 et nécessitent une majorité simple et des recommandations peuvent être adoptées en vertu de l'article 23 de la constitution de l'OMS.
- L'organe intergouvernemental de négociation (INB) se réunit du lundi 18 juillet 2022 au vendredi 22 juillet 2022 pour discuter de la CAII de l'OMS.
- Plus de 36 000 commentaires publics écrits ont été soumis en avril 2022 et la majorité de ces commentaires s'opposaient à toute forme d'accord.
- L'OMS a annulé une période de commentaires publics prévue en juin 2022.
- L'INB a publié un document de travail de l'ACII de l'OMS le 13 juillet 2022 (voir ci-dessous).
- L'OMS se concentre sur un concept appelé "One Health" qui cherche à contrôler chaque aspect de la vie sur terre.
- Les gens devraient accorder une attention particulière à la partie 4, plus précisément à la section 13 (contrôle de l'information) et à la section 14 (financement) du document de travail.
- Il convient également de noter ce qui manque dans l'avant-projet : il n'y a pas d'évaluation de ce qui n'a pas fonctionné au cours des deux ans et demi passés ; il n'y a pas d'interdiction du gain de la recherche fonctionnelle (gain-of-function) ; l'accent est très peu mis sur les traitements et les thérapies ; il n'y a pas de déclaration des droits des patients ; et il n'y a pas de soutien pour permettre aux médecins et aux patients de prendre leurs propres décisions.
- Une opposition organisée à l'OMS est nécessaire.
Les deux pistes vers un traité pandémique
Ces négociations secrètes se déroulent sur deux voies parallèles :
Voie 1 :
L'OMS tente de négocier un "traité sur les pandémies" international juridiquement contraignant qui pourrait usurper la souveraineté nationale et restreindre nos libertés individuelles. Les délégués de chaque nation ont reçu l'ordre de l'OMS de soumettre leurs propositions écrites à l'organe intergouvernemental de négociation avant le 15 septembre 2022.
Voie 2 :
Dans le même temps, l'OMS a mis en place un Groupe de travail pour les amendements au Règlement sanitaire international (WGIHR). Le Règlement sanitaire international est un instrument de droit international existant qui est juridiquement contraignant pour toutes les nations membres, et toute modification du RSI serait également juridiquement contraignante. L'OMS a demandé aux délégués de chaque pays membre de soumettre leurs propositions écrites avant le 30 septembre 2022.
Calendrier 2022
Le prochain meeting est prévu le 29-30 septembre 2022 à Genève
Deuxième audition publique
La première compilation des déclarations vidéo sera diffusée le 29 septembre 2022 à 09h00-12h00 CET et la seconde le 30 septembre 2022 à 18h00-21h00.
https://inb.who.int/home/public-hearings/second-round
Calendrier 2022-2024
A prendre note
Entre le 9 et 13 janvier 2023, le Groupe de travail pour les amendements au Règlement sanitaire international (WGIHR) ou "International Health Regulations Review Committee" (IHRRC) en anglais, va se rencontrer à Genève pour négocier les révisions à présenter au secrétaire générale pour le 15 janvier 2023. La proposition, avec les révisions de l'IHHRC, sera traitée lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, en mai 2023.
Liste des délégués qui représente la Suisse à l'OMS
Lettre envoyées aux délégues suisses – sans réponse à ce jour