Les femmes enceintes

L'injection des produits biologiques expérimentaux à l'ARN synthétique contre le Covid-19 (jusqu'à 3 doses), est officiellement recommandée aux femmes enceintes.

Cette recommandation n’est pas scientifiquement fondée.

En septembre 2021, la Commission fédérale pour les vaccinations (CFV) et la Société suisse de gynécologie et d'obstétrique (SSGO) recommande que toutes les femmes enceintes fassent deux injections dès leur 12e semaine.

 

Dès octobre 2022, cette recommandation s'étend à l'utilisation de la nouvelle injection bi-valente expérimentale, et à une troisième dose.

Cette recommandation surprenante n'est pas soutenue scientifiquement.

18 septembre 2023

Après deux ans sans nouvelles à propos de la recommendation du vaccin contre le COVID-19 aux femmes enceintes, le SSGO publie leur recommendation continue de vacciner TOUTES les femmes enceintes. Cette recommandation ne correspond pas avec celle de l'OFSP.

Le comité responsable de cette recommandation est composé des personnes suivantes du conseil scientifique de la SSGO.

L'Assemblée des conseillers scientifiques se compose des présidents des groupes de travail, du président de la Conférence des médecins-chefs de service ainsi que du Secrétaire général.

Conseil scientifique – Membres

3 avril 2023

Aucune vaccination contre le COVID-19 n’est recommandée pour le printemps et l’été 2023.
Et pour les femmes enceintes?
Actuellement, aucune vaccination n’est recommandée aux personnes vulnérables. Cependant, elles peuvent se faire vacciner après en avoir parlé avec leur médecin, selon l'OFSP.

Le dernier communiqué de la SSGO date de mai 2021.

Et la dernière information date de septembre 2021!

A noter que les autorités britanniques écrit, le 9 novembre 2022,

« On considère qu'il n'est pas possible, à l'heure actuelle, de fournir des garanties suffisantes quant à la sécurité d'utilisation du vaccin [Pfizer-BioNTech] chez les femmes enceintes. »

Voici ci-dessus la lettre envoyée par 60 docteurs et scientifiques au Royal College of Obstetricians and Gynaecologists (RCOG), Royal College of Midwives (RCM) et UK Health Security Agency, le 13 novembre 2022.

Tableau ci-dessous : Événements indésirables liés à la grossesse dans les bases de données internationales

Signaux de sécurité

Le plus inquiétant est l'accumulation de signaux de danger - et la réticence apparente à les examiner de manière approfondie. Les quatre principales bases de données de notification des événements indésirables (VAERS / Yellow Card de la MHRA / EudraVigilance / Vigiaccess de l'OMS) contiennent un nombre important d'effets indésirables liés à la grossesse, notamment des fausses couches et des mort-nés (tableau 2).

Les dernières recommandations des autorités sanitaires fédérales, l'OFSP

Les dernières recommandations de la SSGO du 10 octobre 2022

L'adresse URL www.covidvaccinemonitor.eu/ch qui est indiqué dans le flyer d'octobre 2022 ne semble pas exister (vérifié depuis décembre 2022 au 27.04.2023)

Où est la surveillance des femmes enceintes injectées avec un produit experimental?

Le 16 septembre 2021, Réinfo Santé a envoyé l'émail ci-dessous aux membres* de la CFV.

Pouvez-vous nous fournir les références scientifiques et les données sur lesquelles vous vous basez pour recommander l'injection des femmes enceintes avec un vaccin Covid expérimental, dès la 12e semaine de grossesse ?

L'étude de phase 2/3 du vaccin ARNm de Pfizer-BioNTech (BNT162b2), lancée en février 2021, ne sera pas terminée avant octobre 2022 et ne portera que sur 700 femmes enceintes en bonne santé**.
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04754594

 

*Membres de la CFV (jusqu'au 31.12.2023)
Président : Prof. Dr. méd. Christoph Berger
Membres : Dr. méd. Anne Iten, Dr. méd. Marina Jamnicki Abegg, Prof. Dr. méd. Annelies Zinkernagel, Dr. méd. Pierre Landry, Dr. méd. Pierre-Alex Crisinel, Prof. Dr. méd
. Christoph Aebi, Prof. Dr. méd. Nicole Oschenbein-Koelbe, Dr. méd. Anita Niederer-Loher, Dr méd. Christoph Tobias Berger, Dr. méd. Susanne Huwiler Stronksi MPH, Dr. méd. Svend Capol, Dr. méd. Patrick Bovier, Dr. méd. Mario Lazzaro.

A ce jour nous n'avons toujours pas reçu une seule réponse des membres de la CFV.

**Depuis cet email à la CFV nous avons appris que l'étude est sur 349 femmes enceintes en bonne santé, et que l'étude s'est terminée le 15 juillet 2022. A ce jour les résultats n'ont pas été publiés.

Vous trouverez, ci-dessous, la lettre envoyée le 1er novembre 2021 à la SSGO, à la CFV et à l’OFSP, leur demandant le retrait immédiat de leur recommandation de « vacciner » les femmes enceintes contre le Covid-19.

Le 11 janvier 2022, nous avons reçu une seule réponse par émail du Professeur David Baud.

 

Les références scientifiques citées ne justifient pas la recommandation d'injecter les femmes enceintes avec un produit biologique expérimental qui contient un code génétique artificiel et des nanolipides novateurs.

L'innocuité de cette injection n'a pas été établie, et les signaux de sécurité sont systématiquement écartés.

Notre lettre datée 1er novembre 2021

Notre réponse du 18 juin 2022 à Prof David Baud, via nos avocats

La seule réponse reçue le 8 janvier 2022

La réponse de la SSGO du 11 juillet 2022, à nos avocats

Prof David Baud et Dre Alice Panchaud, PhD du CHUV sont responsables de COVI-PREG, le registre de femmes concernées par le coronavirus pendant leur grossesse, autorisé par la Commission cantonale éthique de la recherche sur l'être humain.

Selon le CHUV, le but de ce registre est de compter le nombre de femmes concernées par le coronavirus pendant leur grossesse ou au moment de leur accouchement et d’observer l’évolution de leur grossesse. Le CHUV souhaite ainsi recueillir auprès de leurs médecins traitants les informations nécessaires pour évaluer quel est l’impact du SARS-CoV 2 sur la grossesse, la santé des mères et de leur nouveau-né.

Et que dire des impacts des injections anti-Covid-19 ?

Une surveillance passive des femmes enceintes injectées

Le registre COVI-PREG est aussi devenu une surveillance passive des effets indésirables pour les femmes enceintes ayant reçues l'injection expérimentale anti-Covid-19 (dans les derniers 48 heures).

Les professionnels de la santé n'ont pas accès aux données anonymisées de ce registre afin d'évaluer les effets indésirables de l'injection pendant la grossesse.

L'accès aux données est réservé uniquement aux institutions académiques autorisées.

 

Selon les données partagées par Swissmedic, au 25 juillet 2022, il y eu 11 déclarations d'avortements spontanés et morts-nés en Suisse suite aux injections anti-Covid-19 de Pfizer-BioNTech et Moderna.

Ce chiffre est très probablement une sous-estimation nette du nombre réel.

Ci-dessous des présentations données par Prof David Baud en 2021

PFIZER-BIONTECH – A PHASE 2/3, PLACEBO-CONTROLLED, RANDOMIZED, OBSERVER-BLIND STUDY TO EVALUATE THE SAFETY, TOLERABILITY, AND IMMUNOGENICITY OF A SARS-COV-2 RNA VACCINE CANDIDATE (BNT162b2) AGAINST COVID-19 IN 348 HEALTHY PREGNANT WOMEN 18 YEARS OF AGE AND OLDER
Start date: February 2021 / End date: July 15th 2022

Texte extrait de l'information professionnelle pour le produit Comirnaty Bivalent Original / Omicron et la version monovalent Comirnaty original.

Grossesse, Allaitement

Grossesse

On ne dispose d'aucune donnée sur l'utilisation de Comirnaty (monovalent) ni Comirnaty bi-valent Original/Omicron BA.1 pendant la grossesse.

L'expérience acquise avec l'utilisation de Comirnaty chez la femme enceinte est limitée. Des études chez l'animal n'indiquent pas d'effets nocifs directs ou indirects sur la gestation, le développement embryo-fœtal, la mise bas, ni sur le développement post-natal. L'administration de Comirnaty pendant la grossesse devra être envisagée uniquement lorsque le bénéfice potentiel l'emporte sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus.

Allaitement

On ne dispose d'aucune donnée sur l'utilisation de Comirnaty Original/Omicron BA.1 pendant l'allaitement.

On ignore si Comirnaty est excrété dans le lait maternel.

Fertilité

Les études chez l'animal n'indiquent pas d'effets nocifs directs ou indirects en ce qui concerne la toxicité sur la reproduction.

L'étude clinique en cours pour Moderna Spikevax®

MODERNA mRNA-1273 OBSERVATIONAL PREGNANCY OUTCOME STUDY IN 1000 WOMEN – STILL RECRUITING PARTICIPANTS.
Start date: September 2021 / End date: January 6th 2024

Texte extrait de l'information professionnelle pour le produit Spikevax Bivalent Original / Omicron et mRNA-1273 original.

Grossesse, Allaitement

Grossesse

Aucune étude adéquate et bien contrôlée n’a été effectuée concernant l’utilisation de Spikevax chez la femme enceinte. Les données disponibles sur le Spikevax administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour déterminer les risques associés au vaccin en cas de grossesse.

Les études chez l’animal n’indiquent pas d’effets néfastes, directs ou indirects, sur la grossesse, le développement embryonnaire/foetal, l’accouchement ou le développement postnatal.

Allaitement

Nous ignorons si le Spikevax est excrété dans le lait maternel humain. Nous ne disposons d’aucune donnée permettant d’évaluer l’effet de Spikevax sur le nourrisson allaité ou sur la production/l’excrétion de lait. Par conséquent, il n’est pas recommandé d’administrer le Spikevax à une mère qui allaite.

Fertilité

Nous ne disposons d’aucune donnée sur la fertilité humaine suite à l’utilisation de Spikevax

Données inquiétantes de Pfizer

Suite à la demande de l'avocat américain, Aaron Siri avec le groupe 'Public Health and Medical Professionals', le tribunal fédéral a ordonné le FDA (Food & Drug Administration) a rendre publique des documents de Pfizer sur Comirnaty®, que le FDA voulait prendre 75 ans pour sortir.

Dans les documents publiés, il y a le document 'Postmarketing experience 5.3.6' pour la période jusqu'au 28 février 2021. Dans ce document, 1,223 morts sont annoncés, et plus de 42,000 blessures suite à l'injection anti-Covid-19.

Dans le cadre du suivi des effets indésirables par Pfizer, au cours des 12 premières semaines du déploiement du vaccin, 270 femmes enceintes ont signalé une blessure liée au vaccin, mais Pfizer n'a suivi que 32 d'entre elles et 28 de leurs bébés sont morts. Il s'agit d'un taux de mortalité fœtale choquant de 87,5 %.

Ci-dessous se trouve des documents obtenus de Swissmedic en juillet 2022, sous la Loi sur la Transparence, au prix de CHF 1'600.-

Moderna Spikevax® mRNA-1273 – Études de fertilité, toxicologie et de développement

Une étude GLP de toxicité intramusculaire combinée sur le développement et la reproduction périnatale/postnatale du mRNA-1273 chez le rat.

Les résultats de l'étude de fertilité de Moderna se basent sur l'observation de 44 rats femelles (en bonne santé) injectés avec mRNA-1273 à 4 intervalles : 2 x avant l'accouplement et 2 x pendant la grossesse. Quarante-quatre rats ont été utilisés en tant que groupe contrôle/comparatif, mais n'ont pas reçus un placebo de solution saline. Au totale 88 rats ont été utilisés pour cette étude.

Le nombre total d'animaux utilisés dans cette étude a été considéré comme le minimum requis pour caractériser correctement les effets du produit testé et a été conçu de manière à ne pas nécessiter un nombre inutile d'animaux pour atteindre ses objectifs.

Dans le groupe contrôle il y eu 41/44 rats enceintes, et 37/44 des rats enceintes injectés avec le mRNA-1273.

Vingt-deux des rats injectés avec le mRNA-1273 ont été sacrifiés après 21 jours de gestation (cohort 1), avec les bébés rats sortis par voie césarienne et tous euthanasiés.

Quinze rats (sur 22) qui sont tombés enceintes suite aux injections mRNA-1273, ont pu accoucher naturellement (cohort 2), donnant vie à 203 bébés rats, 2 morts-nés et 5 décès néonatal. Après 4 jours de vie, 83 bébés rats ont été sacrifiés, laissant 120 bébés rats observés pour encore 17 jours, avant qu'ils soient eux aussi sacrifiés. 

L'étude a durée moins de trois mois.

***

Il est à noter que dans les documents de Moderna fournis par Swissmedic,
Final Report – Toxicity Study No.2308-123
l'Annexe 2 – Caractérisation de l'article de test (pages 93-96)

et
l'Annexe 5 – Observations individuelles du site d'injection (pages 115-117)
sont complètement caviardés.

Pfizer-BioNTech BNT162b2 Comirnaty® – Une étude combinée de fertilité et de développement – Rapport final

Étude combinée de la fertilité et du développement (y compris la tératogénicité et les investigations postnatales) de BNT162b1, BNT162b2 et BNT162b3 par administration intramusculaire chez le rat Wistar.

Les résultats de l'étude de fertilité de Pfizer-BioNTech se basent sur 44 rats femelles injectés avec BNT162b2 à 4 intervalles (2 x avant accouplement et 2 x pendant la grossesse). Quarante-quatre rats ont été utilisés en tant que groupe contrôle, et ont reçu un placebo de solution saline. 

L'étude a durée moins de trois mois.

Extrait d'un formulaire d'autorisation parentale pour Pfizer-BioNTech – daté du 14 décembre 2021

https://www.icandecide.org/wp-content/uploads/2022/02/Substudy-B-Informed-Consent-Form-002.pdf

14 décembre 2021
Cincinnati Children’s Hospital Medical Centre – Parent Permission Form (Sub Study B)

Titre : Étude visant à évaluer une ou plusieurs doses supplémentaires de BNT162b2 chez des personnes en bonne santé ayant déjà été vaccinées avec BNT162b2.
Traduction en français du texte ci-dessus :

Risques liés à la grossesse ; utilisation d'une contraception

Les effets du vaccin Covid-19 sur le sperme, la grossesse, le fœtus ou l'enfant allaité ne sont pas connus.

Si votre enfant est sexuellement actif, il doit utiliser un moyen de contraception pendant l'étude et pendant au moins 28 jours après sa dernière vaccination. Le cas échéant, le médecin de l'étude en parlera avec vous/votre enfant et lui expliquera les options qui s'offrent à lui. Le médecin de l'étude s'assurera également que votre enfant a compris comment utiliser la méthode de contraception et pourra revoir ce point avec votre enfant lors de chacune de ses visites de recherche. Si votre enfant souhaite cesser d'utiliser la méthode contraceptive requise pendant l'étude, vous/votre enfant devez en informer immédiatement le médecin de l'étude. Votre enfant peut être retiré de l'étude de recherche s'il cesse d'utiliser une méthode de contraception.

Si votre enfant est une fille et qu'elle a commencé à avoir ses règles, le médecin ou l'infirmière de l'étude testera son urine pour s'assurer qu'elle n'est pas enceinte. Le médecin ou l'infirmière de l'étude vous communiquera les résultats du test de grossesse de votre enfant.

Si votre fille est enceinte, prévoit de l'être ou allaite un bébé, elle ne peut pas participer à l'étude car il peut y avoir des risques pour le bébé à naître ou le bébé allaité. Personne ne sait actuellement quels sont ces risques.

Si vous pensez que votre fille est enceinte pendant l'étude, elle ou vous devez en informer immédiatement le médecin de l'étude. Si votre fille tombe enceinte, elle devra quitter l'étude. Le médecin de l'étude vous demandera des informations sur la grossesse et la naissance de l'enfant. Le médecin de l'étude peut partager ces informations avec d'autres personnes qui travaillent sur cette étude.

Si votre enfant est un garçon et qu'il pense qu'il a pu mettre une fille enceinte, il ou vous devez en informer immédiatement le médecin d'étude de votre enfant. Le médecin de l'étude vous demandera des informations sur la grossesse et la naissance de l'enfant. Le médecin de l'étude peut partager ces informations avec d'autres personnes qui travaillent sur cette étude.

Si votre fils participe à l'étude, il n'est pas autorisé à donner son sperme pendant au moins 28 jours après sa dernière vaccination.

Les effets indésirables enregistrés en EU

MODERNA Elasomeran / Spikevax

PFIZER-BIONTECH Tozinameran / Comirnaty

Les effets indésirables enregistrés en EU du 19 mai 2021 au 4 janvier 2022

Brochure triptique avec des informations pour les femmes enceintes

Principe de précaution écarté par les autorités

Swiss Public Health Covid 2022 Vaccinate Pregnant Women

Malgré la nature expérimentale de l'injection Covid-19, les autorités persistent à la promouvoir aux femmes enceintes – jusqu'à 3 doses – au détriment du principe de la précaution.

A rappeler que toute personne qui injecte, ou qui recommande l'injection a sa part de responsabilité en cas de dommages et blessures.