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Témoignage d'un professionnel médical

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Témoignages partagés par le Collectif Parents

Katia de Neuchâtel
Effet indésirable (allergies) suite à son injection de Moderna

Diana de Genève
Effets indésirables suite à sa 2ème injection Moderna – tremblements, péricardite...
Témoignage audio ci-dessous

Témoignages des infirmiers

Infirmière en médecine tropicale:

« Parmi tous les vaccins que j'ai eu dans ma vie... coqueluche, diphtérie, anti-rabique(si si) tétanos, variole, rougeole, rubéole, oreillons, hépatite B et A , puis la tuberculose, celui-là m a protégée sans masque ds un hôpital de tuberculeux, 3 mois chez les khmers je n'ai jamais vu autant de contre-sens, de contre-science à propos de mesures de prévention. Je dois porter un masque et maintenir une distance sociale même lorsqu'on est entièrement vaccinés et/ou asymptomatiques.

Personne ne m a jamais demandé si j'avais été vaccinée contre le tétanos, à part aux urgences après un clou dans le pied...

En 30 ans de métier, je n'ai jamais entendu parler d’un vaccin qui ferait en sorte que je pourrais encore contracter ou répandre le virus même quand je suis entièrement vaccinée, je n’ai jamais été soudoyée par les établissements pour prendre le vaccin afin de gagner une voiture, un gâteau, un job ou des prix en espèces. Je n'ai jamais été jugée si je ne le faisais pas. Je n'ai jamais été victime de discrimination pour les voyages, même en zone endémique de fièvre jaune ou de paludisme ou de SIDA.

Les vaccins que j'ai listés ci-dessus ne m'ont jamais dit ou fait sentir que j'étais une mauvaise personne pour ne pas les faire.....

Je n'ai jamais vu un vaccin qui menaçait la relation entre un membre de la famille et qui cassait de vieilles relations de 40 ans...

Je n'ai jamais vu un vaccin menacer le gagne-pain, le travail, l'enseignement, l'école, etc.

Je n'ai jamais vu un vaccin qui permet à un enfant de 12 ans de 'remplacer' l'autorité parentale...

Enfin, après tous les vaccins que j'ai répertoriés ci-dessus, je n'ai jamais vu un vaccin comme celui-ci qui discrimine, divise et juge.

C’est un tout puissant vaccin !

La pression entourant ce vaccin n’est pas saine ni normale, il y a anguille sous roche, non? »

Infirmière:

« Une ancienne collaboratrice et amie a été vaccinée le 11 mai et 2ème dose le 7 juin. Le 8 juin, alors que nous allions en vacances, elle développe de multiples lésions crouteuses sur le décolleté, le dos et les bras puis, 3jours après, sur le visage. la semaine suivante, des cloques autour de la bouche ainsi que des érosions à l'intérieur de la bouche apparaissent.

Elle est hospitalisée sur Lausanne, du 8 juillet au 27 juillet. De très nombreux examens sont faits, sans résultats déterminés. Elle a reçu divers traitements dermatologiques, neurologiques et anti-inflammatoire. Une rémission partielle lui permet de rentrer sous réserve de recevoir le CMS.

Suite à une baisse de la cortisone, mi-novembre, les même signes reviennent aux bras et aux jambes. La cortisone est ré-augmentée.

A ce jour (4 janvier 22), toujours sous cortisone, la situation est stable excepté une forme de mycose buccale qui subsiste et qui gêne jusqu'au niveau du cou. Elle a également des problèmes musculaires au MI ainsi qu'un souffle diminué, ce qui l'empêche de faire les marches que nous faisions avant ces vaccinations. A noter que son hygiène de vie et alimentaire sont pourtant excellents ! »

Infirmière:

 « Bonjour,

1. Un collègue avait de fortes céphalées et de la fièvre après la 2ème injection. Malade deux jours, depuis plus de plaintes. Il s'est fait vacciner pour des raisons de santé et autres.

2. Une jeune collègue a des signes d'inflammation dans les bras et des menstruations abondantes. Elle pense que c'est lié au vaccin qu'elle a fait pour voyager.


3. Un collègue a des ganglions enflés, mais un peu mieux après deux semaines. Il a fait le vaccin pour accompagner sa femme enceinte aux consultations (en France).


4. Une collègue a été très mal durant 2 semaines, nausées fortes et douleurs fortes au ventre. Il a fait le vaccin pour voyager.


5. Une collègue française a été très mal (état grippal) durant 1 semaine. Elle a fait le vaccin par contrainte et dans la panique. Elle a fait également vacciner sa fille de 15 ans qui avait peur d'être exclue à l'école.


6. Une collègue a de fortes céphalées depuis la 2 ème injection il y a 5 jours. Elle a fait le vaccin pour se faciliter la vie.


7. La mère (pas vaccinée) du copain de ma fille est allée dans sa famille où les 5 membres sont vaccinés et tous tombent malades, ils sont positifs sauf la dite mère. Un membre doit être hospitalisé et était dans un état grave. Il va mieux maintenant.


8. Les parents (au Maroc) de l'amie de mon fils sont tombés malades et les deux positifs et hospitalisés. Le père vacciné est dans un état plus grave que la maman non vacciné. Les deux vont mieux.


9. Une amie (infirmière) a eu des inflammations aiguës dans les deux mains après 1 injection, elle ne fait pas le lien.

Plusieurs autres personnes (amis des membres de ma famille) regrettent d'avoir fait l'injection après des problèmes de santé suite a l'injection. Tous disent de ne pas vouloir faire la 3ème. Je n'ai pas connaissance qu'il y a eu de signalement. »

Infirmière:

« Je suis infirmière à l'hôpital. J'ai rencontré plusieurs situations que je pense importante à relater:

1: un patient de la cinquantaine, qui était déjà sous anticoagulant, s'est fait vacciner contre la Covid (2ème dose) et est venu aux urgences pour une difficulté à respirer, 48h après son injection. Après avoir fait tous les examens, son diagnostic tombe: embolie pulmonaire massive. Il a demandé si ça pouvait être dû au vaccin mais on ne lui a jamais fourni une réponse.

2: une patiente se présente car elle a une tâche noire qui est apparu devant l'oeil 36h post-vaccination contre la covid. On lui dit que c'est soit la maladie de Horton, soit une thrombose du nerf optique. la patiente demande également si c'est dû à la vaccination, personne n'a pris position.

3: une patiente vaccinée 2x contre la covid, il y a plus de 3 mois, hospitalisée pour une raison tout autre, est visitée par son mari; lui aussi vacciné 2x contre la covid, il y plus de 3 mois. Son mari, ne se sentant pas bien, est hospitalisé dans le secteur. Le test PCR est positif, M. a le SARS- Covid et est mis en quarantaine à l'hôpital, du coup son épouse se fait également frotté pour la covid et le résultat est également positif. --> Ceci montre l'importance que tout le monde devrait présenter un test antigénique négatif en visite et pas seulement le pass covid dû à la vaccination.

4: j'ai moi-même attrapé la Covid en m'occupant d'une patiente qui était vaccinée 2x contre la covid depuis plus de 2 mois, qui présentait tous les symptômes d'une infection au Covid mais les médecins ne voulaient pas la frotter en début de prise en charge car elle était vaccinée. La prise en charge change complètement si la personne est une « suspicion Covid ». Donc comme elle n'était pas suspecte selon les médecins, je m'en suis occupée toute la journée. En fin de journée, les médecins ont quand même décidé de lui faire son test PCR qui s'est avéré positif et moi 3 jours après, j'étais malade et positive également.

5: une amie présente des migraines régulièrement depuis qu'elle s'est fait vacciner.

6: un ami a fait un arrêt cardio-resp dans les 24h qui ont suivi le vaccin, il a eu une pose de stent. Le groupe pharmaceutique de la vaccination lui a fait parvenir une lettre d'excuse où ils écrivaient qu'ils savent que la vaccination peut avoir comme conséquence des problèmes thromboembolique.

La preuve qu'il faut tester tout le monde qu'importe que les gens soient vaccinés ou non. Et que la vaccination n'est pas la solution à la résolution des cas Covid.

P.S il serait agréable de ne pas se sentir jugé dès qu'on mentionne que l'on est pas vacciné. »

Infirmière:

 « Infirmière aux HUG depuis plus de 35 ans, je n'ai jamais vu une telle propagande vaccinale !!! Si leur produit était si sûr, cette propagande ne serait pas nécessaire !!

je travaille dans un service de psycho-gériatrie (patients multi comorbidités somatiques et psychiques ) Lors de la '1ère vague' aucun décès (ni 2ème vague d'ailleurs). Gestes barrières bien sûr plus ou moins respectés par les patients ....

J'ai appris il y a quelques jours par ma cheffe (avec laquelle j'ai une très belle relation) que les IRES avaient reçu pour consigne de dénoncer les collaborateurs comme moi qui ont un discours critique envers cette pseudo-vaccination !!!!! Jusqu'à présent j'ai toujours pu discuter librement des avantages et inconvénients des vaccins. Les bras m'en sont tombés !!!! je n'en peux plus et je quitte mon job dans quelques mois, dégoûtée par ce que je vois chaque jour. On m'a même conseillé, si cela est 'trop dur pour moi en ce moment' de me mettre en arrêt !!!! »

Infirmière en soins intensifs:

 « Je témoigne en tant qu'infirmière aux soins intensifs. Je souhaite tout d'abord mettre au clair qu'en aucun cas je nie la gravité que peut avoir le covid sur certaines personnes. Cependant, là où je suis frappée, c'est l'acharnement qui nous est imposé pour « sauver » les personnes.

D'après mon expérience, je dirais qu'au minimum 50% des patients desquels j'ai eu à m'occuper étaient polymorbides, âgés de 70 et +.

Mon opinion n'est certainement pas que ces gens n'ont pas le droit de recevoir des soins mais plutôt dans quel perspective? et pour quelle qualité de vie?

Car oui, pour beaucoup de personnes, après des séjours d'environ 2-4 semaines avec un tube dans la bouche, à être curarisés, sédatés et à faire des décubitus ventraux, elles sont effectivement capables de respirer à nouveau d'elles-mêmes. Avec à la clé, une polyneuropathie des soins (incapacité presque complète de bouger d'elles-mêmes ou de sentir leurs membres), de multiples escarres, une incapacité à déglutir, un état confusionnel, de multiples infections, une perte musculaire massive, incapacité à marcher et se mouvoir,... etc. A la suite de quoi, la personne une fois « en meilleur état » peut sortir des soins intensifs pour la suite de prise en charge. La voilà partie pour plusieurs mois d'hospitalisation et de rééducation intensive juste pour retrouver un minimum d'autonomie (minimum comme dans être capable de se brosser les dents par exemple, activité qui est peu demandante comparé à tout ce qu'elle devrait pouvoir faire si elle était autonome). Et ne pas oublier que pour beaucoup, avec une capacité pulmonaire fortement réduite, l'utilisation d’oxygène à vie n'est pas exclue.

Voilà ce que nous sommes en train d'offrir aux personnes gravement atteintes par le covid et voilà la raison pour la quelle les soins intensifs sont actuellement surmenés et sous pression.

Nous « sauvons » donc ces personnes, mais... je me pose la question, de quoi les sauvons-nous au final?

Je me demande si ces gens réalisent ce qui les attends lorsqu'ils acceptent de passer par les soins et d'accepter d'être intubés.

Je me demande aussi s'il est juste et bénéfique vis-à-vis de la société et des autres personnes de précariser des familles, d'imposer un stress et un traumatisme à toute une génération, de forcer les gens à rompre les liens sociaux, de sacrifier la santé mentale des jeunes (et des moins jeunes aussi), de supprimer la liberté de chacun arbitrairement et d'imposer la santé physique comme valeur suprême de notre société? »

Infirmière / hôpital:

 « Bonjour, je ne témoigne pas de situations douloureuses.

Je travaille en milieu hospitalier avec la personne âgée.

Lors de la 2ème épidémie nous avons eu 11 patients atteints dont 2 sans aucun symptômes (test foireux ?).

Nous n'avons eu aucun décès et ceci sans que les patients soient traités, si ce n'est du dafalgan en réserve.

Par contre par la suite et après la quarantaine, 2 patients sont décédés mais pas du tout du SARS Cov2. Un d'eux était dans sa 98 ème année, ne voulait plus vivre et l'autre avait de multiples comorbidités.

Le médecin a été, selon ses dires, obligés de les déclarer comme décédés du SARS Cov2.

Voilà la réalité du terrain hors soins intensifs.

Il serait intéressant d'avoir des témoignages de soignants qui travaillent en soins intensifs pour savoir comment les patients sont traités, s'ils sont traités, car ces infos je n'arrive pas à les avoir avec fiabilité. »

Infirmière:

 « Bonjour,

Je suis infirmière ds des soins à domicile.

Il est vrai que les bénéficiaires de soins ont tous un âge avancé et que leur état de santé va en diminuant. Néanmoins, j'ai pu constater une nette baisse de l'EG après la 2ème dose de vaccin. Comme une péjoration soudaine de leur différentes pathologie, 2 patients sont décédés. Les autres se plaignent de grande faiblesse, lassitude. Un a présenté un Zona. »

 

Infirmière:

 « Je travaille dans un service où sont hospitalisées des personnes âgées ayant des troubles psychiatriques.

Nous testons tous nos patients à l'entrée.

Cependant, un de mes patients est devenu positif au Covid (sans doute contaminé par quelqu'un du personnel) au bout d'un mois d hospitalisation.

Il souffre de troubles cognitifs, d'une démence mais il communique bien avec nous. Parle, marche. Suite à son test positif, il est isolé dans sa chambre mais refuse d'y rester car oublie qu'il a le Covid et qu'il peut transmettre aux autres patients.

De ce fait, les médecins ont décidé de lui administrer du Rivotril 0.5 mg 4 fois/jour (plus des réserves) et de l'attacher dans son lit. Le Rivotril c'est pour qu'il soit calme, pas agité.

Le lendemain, il est très somnolent, je ne lui donne pas son traitement et le détache de suite. Il se réveille peu à peu, dit qu'il se sent shooté.

Le lendemain je suis encore là, je ne lui donne pas son Rivotril, il est en forme, mange bien, se mobilise mieux.

2 jours plus tard, je ne travaille pas, j'apprends d'une collègue que le patient est proche de la mort!! Il ne bouge plus, ne parle plus, ne mange plus.. En 48h !

Les infirmières des 2 jours passés lui ont administré le traitement de Rivotril. Elles ont obéi à la prescription de Rivotril contrairement à moi.

Si ce patient décède, il sera étiqueté Covid alors que je sais que la vraie raison sera surcharge médicamenteuse qui aura induit un coma. »

Infirmière:

 « Mon compagnon, 53 ans, a le rhume depuis hier, journée où il était en travail à distance. Cette nuit a été pénible dû a ce simple rhume, mais on sait qu’un nez bouché peut rendre la vie plus difficile. Son travail lui demandant un test, il se rend donc sur le Coronagate qui demande, sur le canton de Vaud, de faire un test rapide. Surpris, il s’assure après de la hotline Covid s’il faut réellement faire un test rapide.

Sans aucun autre questionnement autour d’éventuelles allergies, on lui répond à l’affirmative. Il a par conséquent été effectuer un test rapide auprès d’une pharmacie qui teste en ce moment dans un hangar de l’entreprise Amstein à St-Légier. Le résultat reçu quelques minutes plus tard par SMS lui confirme qu’il est négatif mais, qu’au vu des symptômes, il doit rester en quarantaine jusqu’à 24h après la disparition des symptômes ! Son employeur, faisant forte heureusement preuve de bon sens, lui propose de rester à la maison jusqu’à demain et de refaire le point en fonction de l’évolution du rhume. »

Témoignages des professionels de la santé

Assistante en pharmacie:

 « Le papa d'une connaissance (75 ans), suite à sa deuxième injection, il a fait une hémorragie: plus de globules rouges, plus de plaquettes, et plus de fer, ni ferritine dans le sang. Des tâches sur les poumons sont apparues également. »

Assistante médicale:

 « Nous avions un patient pour une opération nous l’avons pas testé car il était vacciné et le patient est rentré chez lui dans la journée, il s’est fait un auto test car il avait un léger rhume et il s’est avéré qu’il était positif au covid.

La preuve que le le vaccination va rien changer à la situation malgré un pass sanitaire. »

Professionel de la santé:

 « J'ai eu probablement de la chance de ne jamais avoir eu de souci depuis le début de la pandémie (pas de covid - bon EG). La création d'un pass vaccinal par endroits m'a amenée à me faire vacciner avec un vaccin ARN m.

1ère dose : pas de souci. Plus d'une semaine après, un mercredi avant de recevoir une 2ème dose (prévue le vendredi) : j'effectue un test anti covid : il est négatif.

Deuxième dose de vaccin reçue deux jours après le vendredi : gros effets secondaires ++ (fièvre, douleur aux articulations, maux de tête...). Je reste isolée tout le WE, couchée, sans voir de monde. Le lundi matin, donc 3 jours après la seconde dose de vaccin ARN m, j'effectue un nouveau test anti covid : il est positif !! C'est le premier positif depuis le début de la pandémie et il survient après ma deuxième dose de vaccin!! »

Médecin:

 « Hier, j’ai été convoquée manu militari en tant que médecin de l’EMS dont je m’occupe à Neuchâtel, pour être présente durant la séance de vaccination Covid, avec le vaccin Pfizer. C’est la Santé publique qui envoie des questionnaire avec liste pour inscrire les résidents et les employés, et l’équipe mobile de Nomad vient vacciner tout le monde. Pour les résidents, tous avec défaut cognitif, c’est les famille qui ont du dire oui ou non à cette vaccination, mais personne n’a signé, idem pour les employés. Par contre quelques conjoints des employés ou
famille des résidents étaient aussi là, mais eux ont du signer un papier, simplement pour cocher oui ou non sur diverses affection ou problèmes de santé, aucune explication bien entendu sur la réalité du vaccin… Par contre je n’ai rien dû signer, et aucun médecin visiblement n’a signé pour tous ces gens !

Se repose la question : qui est responsable en cas de problème ??? J’ai bien insisté auprès des personnes vaccinées pour les inciter à signaler si un quelconque problème leur arrivait… mais je ne pense pas que c’est le cas habituellement dans cette campagne qui avance très vite dans les EMS. L’équipe mobile , constituée d’un infirmier instructeur pour les infirmières de l’EMS, et de deux étudiants engagés par Nomad, ne semblaient pas avoir aucune idée sur les risques de la vaccination… »

Professionel de la santé:

 « Je suis un professionnel de la santé depuis plus de 20 ans, mon fils Jarod Élie 2001 a reçu un appel téléphonique le mercredi 24 février 2021 vers 16 heures de la part d'un collaborateur de l'office du médecin cantonal du canton de Vaud, ce dernier ne s'est pas présenté sauf par son prénom Patrick apparemment ; il et de manière cavalière, informé mon fils de manière très protocolaire qu'il était un cas contact d'un cas contact, respectivement mon fils est allé à une soirée le 21 février 2021 et un de ces amis a été le cas contact d'un ami dans une autre soirée qui s'est déroulée le soir d'avant.

Mon fils a donc reçu le courrier de décision de mise en quarantaine ainsi que pour mon épouse et moi-même.

J'ai donc pu joindre ce Monsieur en lui relatant mon opposition à cette décision en argumentant des faits scientifiques émanant d'études mais bien entendu sa compétence étant limitée, la seule et unique tâche à accomplir pour ce collaborateur était de me sommer d'obéir au règlement à savoir de faire également une quarantaine.

Je n'ai donc pas pu aller travailler jeudi et vendredi avec un manque à gagner important ! Suite à la persévérance de mon fils qui a appelé une autre collaboratrice qui a démenti l'obligation de la quarantaine pour mon épouse et moi-même et que mon fils pourrait en sortir s'il faisait un test rapide. Donc ce test a été fait le samedi qui s'est avéré négatif pour mon fils et j'ai demandé de refaire les anticorps pour moi-même et comme je l'avait mentionné au collaborateur qui me disait que la durée de la présence des anticorps était de 3 mois, après 12 mois ces derniers étaient toujours bien présents. J'en ai discuté avec mon amie directrice du laboratoire avec lequel je collabore, elle a confirmé que les anticorps avaient une durée au-delà d'un an ou plusieurs années !!!

A ce jour, je n'ai reçu aucune lettre d'excuse, ni de remboursement suite à l'erreur de ce collaborateur. »

Professionel de la santé:

 « Une patiente que je suis pour une rééducation depuis plusieurs années a fait le vaccin Pfizer. Il s'agit d'une patiente ayant eu un AVC il y a 5 ans d'origine indéterminée, aucune autre problématique de santé, 58 ans. Elle marche sans difficulté avec une canne ou même sans sur de courtes distances, pas de spasticité au membre inférieur. Le lendemain du vaccin elle est venue pour sa thérapie avec les symptômes suivants : pertes d'équilibres avec vertiges nécessitant un accompagnement à la marche, augmentation de la spasticité avec impossibilité de tendre complètement son genou, maux de tête, sensation de fatigue extrême, frissons (pas de température). La patiente a fait une chute de tension et n'a pas pu travailler de toute la séance.

3 semaines plus tard, après la 2e dose, elle a téléphoné pour dire qu'elle ne viendrait pas car dans le même état qu'après la 1ère dose. Les 2 fois ces effets ont duré 48h. »

Professionel de la santé:

« La série continue : épisode la 3ème vague valaisanne ! Dans le canton du Valais, le journal local intitule "Le Nouvelliste", titrait le 25.03.21 "Une troisième vague est en approche", alors que les chiffres des décès sont au plus bas. Ce que le service de la santé publique ne nous dit pas dans les médias, c'est que depuis le 22.03.21 et ce jusqu'au 30 juin 2021, un dépistage ciblé et répétitif des personnes sans symptômes, est organisé dans tous les établissements sanitaires (hôpitaux, cliniques privées, EMS, structures de soins de jour, organisations de soins à domiciles privés et publics), pour tout le personnel, à raison d'une fois par semaine.

Ceci aux frais de la confédération (comprenez les citoyens) et le temps nécessaire à la réalisation des dits tests sera remboursé à raison de 5.- Fr par personne testée. On nous prend vraiment pour des demeurés ! »

Pharmacienne:

« J'aimerais témoigner sur la contagiosité, les mesures de distanciation et du traitement du Covid-19.

J'ai participé à une grande réunion d'une église en Alsace fin février 2020. Il y avait entre 1000-2000 participants. A ce moment-là, on n'en parlait pas encore du virus en Europe et aucunes précautions avaient été demandées. Ayant lu sur les infections dans une église du Corée du sud, j'ai simplement pris moi-même des mesures d'hygiène (comme de ne pas toucher le visage des personnes en les embrassant et de ne pas toucher mon visage avec mes mains). Je dois dire que j'ai seulement participé à temps partiel (25-50%).

Sentant un léger mal à la gorge après quelques jours, j'ai fait plusieurs fois par jour des inhalations de vapeurs chauds (d'eau bouillante) en respirant les vapeurs chauds par le nez et par la bouche.Je ne suis pas tombé malade bien qu'une grande partie des autres participants sont devenus très malades.
Basé sur mon expérience je pense que le virus est essentiellement distribué par l'air (las salle a une aération par circulation) et la quantité de virus inhalé joue aussi un rôle important. Les simples mesures d'hygiène et de distanciation aident à éviter le virus. Les vapeurs chaudes peuvent probablement tuer (ou atténuer) les premiers cycles de multiplication du virus dans les cellules du nez/gorge.
Si jamais j'étais contaminé aujourd'hui, j'essayerais de me traiter avec le Hydroxychloroquine ou l'Ivermectine + Azithromycine si je trouvais un médecin qui ose le prescrire. Malheureusement les médecins subissent énormément de pression de ne pas prescrire les vieilles substances bien connues (qui ne sont plus sous patent), mais des nouveaux vaccins.

Je ne suis pas contre les vaccins en générale - au contraire: mes enfants sont vaccinés contre toutes les maladies d'enfance. Mais j'ai lu toute la littérature sur les traitements et sur les nouveaux vaccins et je prendrai beaucoup moins de risque en me traitant avec ces vieux et safe médicaments qu'avec une toute nouvelle génération de vaccin (thérapie génique) dont les effets secondaires sur longue terme ne sont pas encore connus.

Pour décharger le médecin, je lui proposerais de signer un document que je prends ces médicaments sur ma propre responsabilité. »

Aide-Soignante:

« 1 – Une amie à été très malade, perte de goût, grosse fièvre à fait 2 fois le test PCR et les 2 fois négatif, elle a voulu avoir le cœur net à fait une sérologie et il s'est avéré positif.

2 – Une amie travaille dans un Ems, elle a été vaccinée 2 fois. Sa fille qui a été vaccinée avec 1 dose à attrapé la covid. Mon amie à appeler son travail et le médecin cantonal afin de les avertir qu'elle avait été en contact avec sa fille positive, on lui a répondu que comme elle avait été vaccinée avec 2 doses, elle pouvait continuer à travailler en faisant attention aux gestes barrières, elle a travaillé 2 jours et a eu mal au cou, test qui s'est avéré positif et du coup à dû se mettre en quarantaine.
 »

Aide-Soignante:

« Je suis en France. Après avoir subi plusieurs harcèlements, je reste un peu à distance. A part témoigner par écrit, je ne le sens pas de faire autrement. La gestion de la pandémie a engendré des décompensations de personnes déséquilibrées, qui ne parvenaient pas à mettre en mots leurs angoisses (agressivité sur adultes et enfants). C'est donc difficile de déterminer ce qui a engendré des effets secondaires aussi après ma 2ème vaccination avec ARNm car j'ai traversé ces deux ans auprès de ce genre de personnes, tout en étant au service de personnes avec handicap. L'agressivité exacerbée met à mal l'immunité du corps.

Mon organisme et son immunité ont été particulièrement mis à mal. Aujourd'hui, à 44 ans, après 2 vaccins Moderna, j'ai des symptômes de début de ménopause : arrêt des règles + grande fatigue + prise de poids (mais des soucis d'aménorrhée étaient déjà présents suite à des harcèlements répétés, mais pas de prise de poids et de grande fatigue).

Je suis encore sous le choc (!) de la violence tant de la part de citoyens que de citoyens élus (!) Je ne me suis jamais imaginée que des pays comme la France, la Belgique ou la Suisse dérivent à ce point. J'ai beaucoup pleuré et j'ai regretté de ne pas être en Suède où les citoyens petits et grands ont été beaucoup plus respectés, avec humanité, équilibre et intelligence. Travaillant dans le médico-social auprès de public fragilisé (handicap), j'ai l'impression de m'être mise au service de certains citoyens violents qui ne se sont pas mis à mon service, dans une relation donnant-donnant respectueuse et équilibrée, d'autant plus lors de crises. Et certains de ces citoyens sont devenus plus agressifs à un moment où il fallait l'inverse, être doux, chaleureux et soutenants.

Exemple d'une institution médico-sociale où j'ai travaillé :

- si un employé oubliait de laver une tasse, une photo était prise et un message moqueur était diffusé à la vingtaine d'employés via un programme utilisé pour les réunions en visio. Je me suis énervée sur une responsable, car elle me mettait la pression par écrit la veille du déconfinement alors que je découvrais les consignes du déconfinement. Elle s'est braquée et elle m'a accueillie la 1ère semaine de déconfinement avec un entretien de discipline (le 1er de toute ma vie!!) alors que je retrouvais mes patients et les gestes barrières après le 1er long confinement très angoissant pour tous. Mon temps d'assistance en réunion en télétravail était chronométré (pas pour tous les collègues!!). Je me suis littéralement enfuie de ce centre. Une collègue m'a dit qu'avant la pandémie, une autre professionnelle était partie en disant que c'était à cause d'eux qu'elle avait eu un cancer! Passer cette pandémie avec eux était un cauchemar. Nombreux dans le soin devrait se réorienter au plus vite. La pandémie a révélé que nombreux manquent d'empathie.

Il y aura un avant et un après gestion de pandémie. »

– Catherine

Soignante:

« Bonjour, je suis témoin depuis 1 mois de maltraitance manifeste et physique, du personnel soignant non vacciné au sujet des tests nasopharynges.

Je fais partie d'un réseau de 3 Homes et après avoir fait des tests salivaires hebdomadaires, soit disant trop lents pour obtenir les résultats, ils ont passés aux tests nasopharynges très profonds (plus profonds qu'avant), soit disant obligatoires. Les soignants ressortent de là avec des symptômes graves: douleurs dans les sinus qui durent, maux de tête durant 3 jours moins, saignements, écoulement de sang dans 1 œil, bourdonnement dans les oreilles, otite atypique avec grosse douleur etc...personne ne les soutient. Je fais de mon mieux en tentant de les réunir pour faire une lettre et une liste des symptômes post test.. D'assister à cette maltraitance perverse de la part des infirmiers et de la Direction pour faire pression sur les non vaccinés est insupportable. L'autre jour 3 soignants pleuraient au sortir du test!!!!

Avez vous une piste pour faire pression pour que ça cesse ?? ou quoi faire de cette situation tenue sous silence pour garder son travail? Merci de me tenir au courant. »
– Novembre 2021

 

Professionnel médical:

« Suite à prise de rendez-vous sur https://coronavax.unisante.ch/, j'ai reçu une première injection le 22 juin. Je dois dire que j'ai été surpris sur place de ne recevoir aucune information sur le vaccin. Même le vaccin utilisé (Moderna) ne m'a été mentionné qu'après injection, parce que je l'ai demandé.

J'ai 48 ans. Je pense avoir eu le Covid en début d'année (cas non documenté, car je m'occupais de mes parents fortement atteints et heureusement remis). Mes symptômes à moi furent léger (un peux de maux de tête, et un léger malaise/étourdissement à l'effort, lors d'un exercice routinier). J'ai initié ma vaccination à cause de pressions professionnelles (nécessité de voyager, notamment aux USA dès que possible). Taux d'anticorps cependant inférieur au seuil de 50 au test sérologique effectué quelques mois plus tard...

Depuis ma première injection il y a 15 jours, je souffre de fatigue et douleurs articulaires surtout, quelques maux de tête. Mais ceci de manière prolongée et persistante - je ne me suis pas senti aussi diminué depuis 20 ans (il y a bien longtemps que je n'ai pas été aussi malade).

Oui j'ai peur de ma prochaine injection. Mais quel est mon choix? »

 

Personnel soigant:

« Le lendemain du 3ème vaccin, je me suis réveillée avec un important œdème au niveau axillaire et dans le sein (coté vacciné) des ganglions lymphatiques extrêmement gonflés…panique! Consultation d’urgence constat: Haute tension artérielle (jamais eu auparavant), analyses sanguines +++ ultrasons, anti-inflammatoires durant 10 jours…
Fatigue chronique, vertiges, consultation: analyses sanguines +++, médication contre HTA, … une vraie Odyssée
 »

 

Sage-femme de 77 ans:

Réaction sur la 2ème injection de Moderna – Première dose avril 2021 / 2ème dose mai 2021 

« Les premiers deux jours un peu de fièvre s’est installé avec une fatigue pendant 2 jours. 
15 jours après, j’ai eu une perte de mémoire (ne trouvant plus les mots en français), une fatigue énorme avec des douleurs articulaires des genoux. Œdèmes massifs au genou gauche avec suspicion d’une thrombose = visite médicale. 
Pas de thrombose mais les œdèmes persistaient avec une fatigue extrême. Deux mois j’étais souvent couchée avec des douleurs des articulations. Je marchais à peine. Des problèmes respiratoires majeures apparaissaient avec une fatigue (comme si on coupait les jambes).  

Je ne suis plus la même personne depuis l’injection contre le Covid. Je n’ai plus l’énergie comme avant. Le genou gauche ne s’est plus amélioré, une prothèse de genou a été effectuée le 13 janvier 2022. Pendant une année j’ai ressenti les effets secondaires. Beaucoup de douleurs ! Pour couronner le tout j’ai fait le Covid le 3 juillet 2022 !

 Je ne voulais pas me faire vacciner, je l’ai fait pour protéger mon entourage du 3ème âge !!! »

Témoignages des parents et de la famille

Fils:

« Mon père est mort d'une leucémie aiguë quelques semaines après avoir reçu la '2e dose', qu'il a manifestement mal supportée. Il était en bonne santé et n'avait jamais eu de problèmes sanguins de toute sa vie...

Des médecins lanceurs d'alerte ont d'ailleurs mis en garde que le prétendu "vaccin" risquait de causer des leucémies! Je m'aperçois aujourd'hui à quel point ils avaient raison. »

Maman d'une jeune fille:

« Une jeune fille, 18 ans, en difficulté psychique (troubles du sommeil, de la concentration, besoin d'un arrêt de travail pour justifier les derniers jours): son généraliste refuse une consultation.

Elle n'a qu'a assumer les conséquences de son choix de ne pas être vaccinée. Il ne va donner ni médicaments ni arrêt pour cela. Pourtant c'est l'infirmière scolaire qui l'envoyait chez le médecin! J'ai obtenu en insistant un arrêt d'une semaine. »

Fille de résidente EMS:

« Ma mère, 93 ans réside dans un EMS du canton de Vaud. Elle a refusé la vaccination. Au début de mars, nous avons reçu par courrier les nouvelles consignes et informations Covid-19. Je cite :

« Selon le nouveau plan cadre, les sorties des résidents pour un repas ou une nuit à l’extérieur (Week-end) sont à nouveau possibles sans confinement au retour. Les personnes qui ne sont pas vaccinées devront être testées au 3e jour et au 7e jour suivant la sortie ».

Le test salivaire n’étant pas encore homologué en Suisse, cela veut dire que ma mère, sortant de l’EMS toutes les semaines, devrait se faire tester (frotter la base du cerveau) 2x par semaine jusqu’à….? La fin de ses jours ! Si cela n’est pas de la maltraitance….. »

Parent et infirmier:

« Mon fils de 18 ans, non vaccinés et jamais testé PCR nasal ou buccal, qui travaille comme cuisinier dans une entreprise de personnes handicapées avec beaucoup de personnes vaccinées et en cuisine aussi quelque uns du personnel vaccinés, a fait un accident vasculaire cérébrale transitoire le 27.9.21 à 7.30 le matin.

Je suspecte qu’il ait été soit contaminé par le port du masque 8h30 par jour depuis 1 an 22 jours par mois, soit contaminé par les vaccinés de l’établissement... »
– Nicole

Fille d'une mère vaccinée:

 « Ma maman a reçu sa 2e dose le 13 juillet dernier. 2 à 3 semaines plus tard, elle se plaint d'une douleur à un gros orteil. Nous constatons une plaie infectée genre furoncle.

L'infection est assez rapidement éliminée mais la plaie ne se referme pas bien et elle a toujours mal malgré plusieurs soin, pommades et une visite chez le médecin début octobre. Le 17 octobre, elle est emmenée à l'hôpital.

Diagnostic : problèmes cardiaques (flutter). Elle n'a pas d'antécédent cardiaque. Elle a toujours une santé psychologique très fragile, est suivit de longue date pour cela avec une grande médication pour ces problèmes là.

Par contre, physiquement, malgré ses 79 ans, elle a toujours une excellente santé.
Il est possible qu'il n'y aie aucun lien avec le vaccin..... mais le contraire est possible également.
»

Parent:

« Mon fils âgé de 17 ans fréquente une école privée dans le Vaud. Son école a prévu un voyage dans le Valais à partir d’aujourd’hui 13 Sept pour une durée de 5 jours.

Depuis l’annonce du Conseil Fédéral au sujet du pass sanitaire, l’école a demandé par l’intermédiaire d’un questionnaire rédigé d’une façon pour le moins vicieuse qui ciblait les non vaccinés, si les parents donnaient leur accord pour deux test anti géniques rapides à effectuer sur place, afin de prolonger leur pass sanitaire.

Au lieu de se limiter à compter le nombre de tests nécessaires, le directeur de l’école a convoqué tous les étudiants ayant besoin de tests dans son bureau, en les recevant un par un après une attente en file indienne dans le couloir. Une inquisition au sujet de leur vaccination a suivi obligeant les jeunes adolescents à répondre à des questions du domaine médical et privé. Ceci est un abus de pouvoir exercé par une personne ayant un rôle d’autorité au sein de l’école. »

Maman et grand-mère:

« Ma fille enceinte de 29 semaines avec le Covid n'a pas été soignée par son médecin généraliste.

Le lendemain, très malade, elle se rend aux urgences de l'hôpital et après de nombreux tests dont certains nocifs pour le bébé, elle est renvoyée à la maison sans soins avec le diagnostic de pneumonie.

Après une nuit horrible, elle retourne aux urgences avec une détresse respiratoire.
Son mari a le Covid et n'a pas le droit de la voir. Donc je lui apporte ses affaires et je la vois seule dans une salle froide (air conditionné) sans couverture, sans nourriture, avec un MASQUE.

Après quelques heures d'attente, elle est conduite au CHUV avec une ambulance.
Elle refuse d'être entubée. Les médecins décident de provoquer une césarienne. Elle a failli mourir avec son bébé. Toutes deux sont aujourd'hui saines et sauves.

Conclusion : une jeune maman enceinte de six mois restée sans soins avec le Covid pendant 48 heures et qui a sauvé sa vie et celle de sa fille en refusant l'intubation.
Je n'ose attaquer ces personnes et ces institutions pour le moment, car j'ai peur d'être repérée.
 »

Maman d'un jeune en formation:

« Mon fils pour pouvoir accéder à son métier de rêve doit faire un examen et pour l examen on lui demande le pass, sans cela il ne sera pas accepter pour l examen. Il me dit que si il veux pouvoir faire l école et accéder au poste et bien qu il va se faire vacciner contre son envie mais pas le choix, car autrement, il a peur qu on ne le prenne pas. Je lui ai conseillé de faire un test de sérologie (car je suis sur qu il a attrapé le Covid l' année passée, car pour son travail, il devait pousser des chaises roulantes des personnes contaminées ) comme cela si son test de serologie est positif, il n aura qu une dose au lieu de 2. Il a téléphoné à son médecin de famille qui lui a répondu que ça ne va pas changer grand-chose qu il se fasse vacciner avec 1 ou 2 doses, je suis enragée, un médecin en qui j avais confiance, je ne comprends pas car si il a une bonne immunité naturelle, je ne vois pas l intérêt pour une jeune en excellente santé de se faire piquousé 2x. Qu elle intérêt les médecins ont la derrière. »

Fille d'un vacciné:

« Hospitalisation après 2ème dose: Mon père 79 ans, en pleine forme avant la 2ème dose. Dès la 2ème dose, malade, perte d'équilibre, maux de tête, confusion, perte d'équilibre en forêt, il est tombé.

Semaine dernière hospitalisé donc 2 mois après la 2ème dose : embolie pulmonaire, infection du péritoine, cirrhose du foie, ponction de 4 litres de liquide sur le foie.

Garde jours à l'hôpital. On lui dit que la cirrhose est due à l'alcool, mon père n'a été pas alcoolique. Il dit que son état s'est dégradé après la 2ème dose, on lui dit que le lien n'est pas évident. Son médecin traitant lui parle déjà d'une 3ème dose. Bref ils vont taire l'évidence le plus longtemps possible. »

Maman:

« La pression est forte en cette rentrée scolaire 2021/2022 pour les enfants du CO à Sion pour ma part et en Valais en général. Ceci concerne l école obligatoire 12/15ans. Nous avons reçu un mail avant la rentrée afin de nous expliquer que pour que la rentrée se passe au mieux. Il vont mettre en place un système de tests! Pour ce faire il fallait signer un consentement. Qui signalait plusieurs choses.

Case 1)mon enfant est vacciner 2)il a eu le Covid précision de date 3) il participe au test de masse méthode de pooling 4) si on accepte pas le test l’enfant doit porter le masque. Face à une telle aberration sachant que les enfants qui n’ont pas de soucis de santé ne risque pas grand chose. Je me suis renseigné auprès de collectifs de parents et autres collectifs. Et la meilleure chose qui me paraissait la plus normale était d’indiquer secret médical en barrant d’une grande croix toutes les autres propositions!

A l’heure où je vous écrit la classe de ma fille 10CO de Saint Guerin a Sion Valais a fait son premier test le jeudi 26 août 2021. Pas eu de retour le vendredi! Pourquoi je n’ai consentis en rien car pour moi c’est la porte ouverte à un cercle infernal.

Je m’explique 1) en acceptant le test si mon enfant est dans le pool positif, ce pool est testé individuellement avec un PCR 2) si elle est positif mise en quarantaine 3) le reste de la classe est libéré de cette quarantaine 4) aucune preuve de la véracité de ces tests en ce qui me concerne, on leur met un produit dans la bouche quelqu’il soit ça reste invasive, et puis c’est pire car PCR en cas de pool positif. 5) si j’accepte le consentement du masque mon enfant est mis en quarantaine avec la personne qui est positif?

Ou est la logique alors que depuis plus d’un année nos enfants ont porté le masque car ça protège soit disant. Pour conclure je dirai que cette manière de faire est totalement discriminatoire et que l’école n’est pas un lieu où des tests qui restent un acte médical n’ont pas leur place. Dans la classe de mon enfant elle est la seule à ne pas faire le test! Sa titulaire lui a signifié qu’au vu de notre remarque qu’elle devra porter le masque, dès lundi sachant que la rentrée était le jeudi 19 août 2021. Probablement que le virus était encore en vacances à ce moment là !  ceci est totalement et je me répète discriminatoire! Pour mon enfant habitué de le porter depuis plus d’un an ne lui pose pas de problème cependant je lui explique que si elle ne le désire pas elle ne doit en aucun cas le porter. Je ne veux pas lui mettre plus de pression, c’est déjà assez dure comme ça!

L’enseignante titulaire ce comporte comme un gendarme auprès de mon enfant c’est inadmissible et ce n’est absolument pas son rôle! C’est terrible et lors de la réunion des parents prévue lundi 30 août 2021. J’ai l’intention de dire de manière philosophique  a son enseignante en espérant qu’elle comprendra! Qu’elle est son rôle dans un établissement scolaire? J’espère élever son niveau de conscience et de lui attirer son attention quand à la discrimination a laquelle elle participe. Car au final ma fille portant le masques est stigmatisée et montrée du doigt! Alors que cela doit rester privé!

Conclusion c’est le masque pour tout le monde ou pour personne! Depuis j’ai une amie qui a effectué les mêmes démarche que moi (secret médical et barrée le consentement d’une grande croix ) et elle a reçu un retour de son établissement scolaire qui est à Leytron. Ou le directeur lui signifie clairement qu’elle doit se positionner et invoque le fameux article de 40 de la loi Fédérale sur les épidémies. Et que cette disposition constitue une base légale formelle qui permet au autorité cantonale compétente d’ordonner les mesures nécessaires pour empêcher la propagation de maladie transmissibles au sein de la population ou de certains groupe de personnes. Il lui stipule qu’il, ne saurait être question de violation du secret médical. Je doit vous signaler que les enfants qui sont au secondaire II on reçu également un papier ou il devait indiquer leur situation de santé. Celle ci est soumi au secret médical et envoyez par les établissements scolaire sous plis anonymes au médecin cantonal! Chercher l’erreur !! Merci et je vous tiens au courant de la suite car je m’attend également à recevoir un courrier de ce genre! Affaire à suivre !! »

Maman de 4 enfants entre 3.5 et 14 ans:

« Je suis obligée d'aller à l'encontre de la volonté (mais pas des intérêts) de mes enfants, qui sont, formatage oblige, bien plus dociles vis-à-vis des autorités de l'école et de la ville, que vis-à-vis de la mienne…

Mes jumeaux de 10 ans seraient enchantés de porter leur masque artisanal; en revanche, ma fille de 14 ans souffre de porter son masque en permanence, mais elle ne veut surtout pas faire de remous… Elle n'est pas la seule dans sa classe, mais personne n'ose rien dire: ils pensent (à juste titre, d'ailleurs) qu'en cessant de respecter le port du masque, ils devront rester à la maison: ce qu'ils ne veulent à aucun prix. Ils se sentent donc contraints d'obéir… Son humeur est acariâtre et elle m'a avoué que la raison en était le masque et le fait de devoir tout aseptiser régulièrement…

Cependant, elle n'insiste pas dessus, de peur que je réagisse… Ce que j'ai néanmoins fait auprès de son professeur (qui s'en est étonné et désolé - je suis le seul parent!!), qui m'a renvoyée au directeur de l'école, qui m'a lui-même renvoyée à la DICS, dont, finalement la Secrétaire générale adjointe m'a répondu que c'était afin d'éviter les quarantaines de 10 jours. Elle ne souhaite pas entrer dans les débats d’experts, qui ont des points de vue divergents, mais suivre les recommandations et les prescriptions des autorités sanitaires fédérales et cantonales. Point barre.

Or, je n'ai pas d'expertise médicale pour me confronter à ces autorités sanitaires, même si le Task force a un pouvoir dont la légitimité reste à prouver; à mon sens, c'est dessus qu'il faut attaquer… Merci de m'avoir donné la parole!!

Une maman complètement désemparée devant l'apathie générale… »

Maman:

« En 2017 mon fils a subi un grave accident de ski. Il a facturé la mâchoire avec notamment la perte de plusieurs dents, à subi des chirurgies maxillo-faciales et subi et subira tout au long de sa vie des traitements dentaires, orthodontiques et de chirurgie maxillaire. Depuis il a fréquemment des maux de têtes (tous les mois avec une forte intensité mais de durée assez courte d’environ demi journée voir pendant maximum 1 journée). Avec des séances d’ostéopathie et la prise de remèdes naturels on arrive à une stabilisation avec une diminution de la fréquence des maux têtes (frontaux et pulsatifs).

Mais depuis l’obligation du port du masque à l’école, ses maux de têtes se sont intensifiés avec une fréquence et durée de plus en plus importante (désormais toutes les semaines et retour après l’école).

Aujourd’hui j’ai du le dispensé d’aller à l’école, ses maux de tête étaient toujours présents, moins intenses mais toujours désagréables et l’incapacitant de se concentrer.

Quand votre fils vous confie qu’il n’a plus envie d’aller à l’école pour ne plus avoir mal à la tête et pour ne plus à avoir à porter ce fichu masque, en tant que parent vous vous devez de réagir!

Son pédiatre ne peut pas le recevoir aujourd’hui, et le médecin de garde doit me recontacter pour éventuellement le caser entre 2 patients…

Donner des analgésiques en continu pour camoufler un problème qui vient d’ailleurs est hors de question!

Je vous témoigne mon désarroi face à cette situation qui est devenu dramatique pour nos enfants! Je cherche des solutions pour abolir cette souffrance qu’on fait endurer depuis bien trop longtemps à nos enfants et à nous tous.

Pour mon fils, mes enfants je veux pouvoir les aider, les protéger et faire tout ce qui est possible pour leur éviter un mal-être quelconque. »

Maman:

« Au CHUV, une visite par jour durant 1 heure est actuellement autorisée. Nous ne sommes pourtant pas encore le 7 juin, date d'entrée en vigueur du certificat Covid, mais aujourd'hui 19 mai ma fille de 16 ans et demi n'a pas pu rendre visite à son petit ami hospitalisé au CHUV depuis 2 jours et opéré d'urgence hier soir, sous prétexte qu'elle n'est pas vaccinée. Malgré le nouveau masque mis à l'entrée du CHUV, le gel désinfectant, et ses anticorps Covid. Une infirmière l'avait laissé venir la veille, celle d'aujourd'hui le lui interdit et se montre très antipathique.

Résultat, ma fille et son petit ami sont sortis 15 min dehors devant le CHUV (ça bizarrement c'était permis), au froid et où ils croisaient plein de monde sans masque 

Comment pouvoir guérir au plus vite quand on a le moral en berne, qu'on souffre physiquement et qu'on ne peut voir personne ?

10200 décès officiels à ce jour (source : https://www.covid19.admin.ch) pour 8,6 millions d'habitants, soit 0,12%, et rien qu'avec ça on arrive à déshumaniser et démanteler une démocratie, ça fait nettement plus peur que le virus lui-même... »

Maman:

« Voici presque deux mois, j'ai été positive à la covid.
Dans un premier temps, j'ai eu énormément de température (plus de 39° durant plus d'une semaine), des forts maux de tête et une fatigue extrême. J'étais très mal: comme une grippe un peu plus forte.

Je prenais du dafalgan et cela ne me soulageait pas, et ne faisait pas descendre ma fièvre. J'avais l'impression que le dafalgan ne m'était d'aucune utilité.

Ensuite, au bout d'une semaine, l'infection est tombée dans les poumons. J'avais de la peine à respirer.

Comme cela empirait, j'ai contacté le médecin de garde. Il m'a prise en charge immédiatement.

Il a été incroyable. Il m'a préscrit des antibiotiques (sur 3 jours), de l'ivermectine trois doses sur une semaine, de la vitamine C et D et du Zinc pendant un mois et des huiles essentielles très efficaces aussi.

Il m'a aussi préscrit de l'aspégic qui m'a énormément soulagée et évité de partir à l'hôpital car j'avais de la peine à respirer. A chaque prise d'aspégic, cela me soulageait, me libérait les bronches et faisait descendre ma température!!!

Les antibiotiques et l'ivermectine ont aussi contribué à améliorer ma forme. A chaque prise d'ivermectine, je sentais que cela me faisait sortir l'infection coincée dans mes bronches par la toux.

Toutefois, le virus a été tenace et j'ai eu encore de la fièvre qui variait entre 37,8 et 38,5 (plus de 15 jours). L'infection était bien là. Alors, le médecin m'a préscrit une deuxième série d'antibiotiques et une dose hebdomadaire d'ivermectine sur quatre semaines. A chaque prise d'ivermectine, je sentais que cela m'aidait fortement!!

J'ai été malade en tout 5 semaines. C'était long mais les médicaments m'ont totalement aidée et guérie et le repos nécessaire. J'ai été très bien soignée et prise en charge!

Je continue de prendre les vitamines et ma fatigue diminue doucement mais sûrement. »

Lorraine Charmillot, mai 2021, Jura.

Famille:

« Lettre pour l’hôpital de Morges.
Concerne : séjour à l’Hôpital de Morges du 15 au 17 avril 2021

Madame, Monsieur,
Lors de mon séjour à l’Hôpital de Morges du 15 au 17 avril 2021 je considère avoir fait l’objet d’une privation de mes droits de mère, de discrimination et de violences psychologiques.

Résumé des événements :

❏ Vendredi 9 avril, lors de mon dernier contrôle chez mon gynécologue Dr. Edmond xxxx-xxxx, je lui ai demandée si le test PCR était obligatoire et l’ai informé du fait que je souhaitais accoucher en ambulatoire, ce à quoi il ma répondu qu’il n’y avait pas de test obligatoire et qu’il était facile d’accoucher en ambulatoire si tout se passait bien.

❏ Jeudi 15 avril vers 9 h. Appel à la maternité en raison d’une perte des eaux à 39
semaines de grossesse, arrivée à la maternité vers 11h. Merci à la sage femme de
l’équipe de jour qui nous a accueilli pour sa chaleur humaine et son soutien moral.

❏ A 13h30, on nous informe qu’un test PCR est obligatoire. Nous avons refusé celui-ci et
spécifié que nous étions d’accord pour n’importe quel autre test salivaire ou sanguin,
Suite à l’insistance de la cheffe de clinique, nous l’avons informé que nous étions prêts
à partir s’il le fallait mais à ce moment-là, elle nous a informé qu’elle allait appeler l’autorité responsable pour ce genre de décision.

❏ Vers 14h30 nous recevons finalement la confirmation que nous pouvons quand même
rester à l’hôpital mais qu’on pourrait nous mettre avec les personnes atteintes du
COVID-19, et que le père devrait quitter l’hôpital au moment du transfert à la maternité, avec interdiction de sortir de la chambre pour les deux.

❏ Vers 17h provocation hormonale.

❏ Vers 20h transfert en salle d’accouchement, Mme. ROMAIN prend le relais. La sage
femme est peu agréable et souvent absente, elle est irritée car je n’ai pas pris avec moi
l’appareil pour le contrôle de la glycémie.

❏ 21h Mon mari est obligé de faire le contrôle de ma glycémie sans aucune expérience et
sans aide autre que la mienne.

❏ Vers 22h Péridurale, bon travail de l’anesthésiste.

❏ 16 avril à 00h22 Accouchement, bon travail du docteur. 02h30 transfert à la maternité.

❏ Séjour à la maternité : pas de changement des draps sales du sang, les plateaux de repas
sont laissé sur le lit du bébé toute la journée, j’ai dû insister pour pouvoir avoir un tire
lait dans la chambre, bébé et maman toujours visités et servis en dernier.

❏ Vendredi 16 Demande de sortie refusée, en raison des tests pour le diabète éventuel du
bébé. Tous les test sont normaux, la pédiatre accepte que nous quittions l’hôpital le
lendemain vers 10h après la visite, confirmé par la sage femme.

❏ Le 17 avril, mon mari et mes enfants attendent devant l’hôpital depuis 10h car la
pédiatre devait venir nous voir à cette heure ci

❏ Après plus de 4h d’attente, toujours pas de nouvelles de la pédiatre qui est allée
manger. A 14h, l’infirmière m’informe que la pédiatre a dit qu’elle viendrait une fois
qu’elle aurait contrôlé tous les autres bébés pour ne pas les contaminer.

❏ Vers 14h30 l’infirmière est venue chercher le bébé pour un contrôle, je lui demandé si
c’était possible de le faire dans la chambre ou si je pouvais venir avec lui, l’infirmière a
pris le bébé en disant qu’elle n’en avait pas pour très longtemps, 20 minutes après j’ai
commencé à angoisser car j’entendais un bébé pleurer et je n’avais pas le droit de sortir
de ma chambre.

❏ Vers 15h45, alors que nous nous préparons à partir car les enfants n’en peuvent plus
d’attendre, appel de la pédiatre qui me culpabilise pour avoir oser partir de l’hôpital
bien que nous l’ayons informée de notre désir de faire les contrôles chez nous avec
notre sage femme.

Le personnel médical semble oublier que tout traitement médical est au libre choix du patient.

Par exemple, j’ai été convoquée après mon séjour pour un contrôle du diabète alors que je
n’avais rien demandé. Sur la lettre, il n’était fait mention nulle part qu’il était possible
d’annuler ce rendez-vous, qui plus est lors de mon appel pour annuler, la personne était
désagréable et à la limite de l’honnêteté à tel point que j’ai été obligée de lui demander si le test était obligatoire.

Ces techniques de marketing agressives n’ont pas leur place dans le système médical et
j’apprécierais plus de franchise quant au libre choix des patients. Durant tout notre séjour nous avons constaté un personnel fatigué et généralement à bout. Ce n’est pas à nous ni au personnel médical de payer pour les décisions des Autorités.

Trop souvent lors de mon séjour à l’hôpital, je me suis sentie oppressée et contrainte. Suite à cette mauvaise expérience que j’ai vécue à l’hôpital de Morges, je fais toujours des
cauchemars, je pense mériter des excuses de la part de l’hôpital et de la pédiatre, la Dre Julie xxxx-xxxxx. »

Famille:

« Lettre ouverte à un directeur d'EMS, 7 mars 2021:

Monsieur le Directeur ,

Je choisis aujourd'hui de vous écrire le coeur gros. Je viens d'avoir ma belle-mère au téléphone qui me dit:

"Je suis punie".

Cette situation totalement lunaire et digne d'un film de science fiction me sidère et me touche particulièrement.

Les proportions prises depuis quelques temps sont juste incroyables. Les dégâts sur les êtres humains et l'humanité profonds.

Pour ma part, malgré toutes les difficultés, je tiens cependant à vous dire que hier soir j'ai listé avec d'autres personnes tous les points positifs que cette année nous a permis de développer et je vous assure, ils étaient nombreux. Je vis donc également de la gratitude par rapport à ce qui se passe dans ma vie depuis un an.

J'ai une profonde gratitude également pour le travail que vous faites et l'accompagnement qui est offert aux résidents par votre personnel. Mon papa et ma belle-mère se sentent bien chez vous et c'est très apaisant, très important de les savoir heureux.
Parce que l'éthique est primordiale à mes yeux, je suis en total désaccord aujourd'hui avec votre manière de stigmatiser une personne qui a souhaité se préserver de cette vaste expérience dont tout reste à découvrir. La phase 3 d'expérimentation à l'échelle mondiale de cette nouvelle manière de traiter est en route jusqu'en 2023.

Les propos des médecins libres de tout conflit d'intérêts vont tous dans le même sens. Ces personnes appliquent le serment d’Hippocrate. Ils font la balance d'intérêt pour accompagner l'être humain et ils s'abstiennent de vacciner par mesure de précaution.

Toutes les personnes ayant un proche placé en EMS avec qui j'ai parlé, on accepté cette vaccination au nom de la liberté. Entendre cela, me crée de l'insomnie…tellement je suis bouleversée, éberluée par ce qui se passe d'autant plus que cet article1 du code de Nuremberg le rappelle : la liberté c'est de pouvoir choisir :

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.»

J'accepte la mort par contre, j'ai beaucoup de peine à tolérer le fait qu'on étouffe à petit feu la vie des gens depuis 1 an sous prétexte de vouloir les préserver de la mort (qui de toute façon est notre destinée à chacun).

Lorsque mon papa est arrivé chez vous en février 2020, la physio avait commencé à le faire se re-mobiliser car il manifestait l'envie, le besoin de faire les transferts tout seul du lit à la chaise.

Les soins ont été stoppés net à la mis-mars. Des soins pourtant essentiels pour une personne dans son état.

Grâce au confinement, au manque de stimulation et de soins de physiothérapie il a eu un énorme escarre stade 4 (putréfaction) au bas de la colonne vertébrale.
Dès le mois de juillet 2020 il a subi 4 opérations de reconstruction et 4 mois d'hospitalisation dans un centre spécialisé complètement alité le buste à peine relevé.

La conséquence aujourd'hui : la physio essaye de travailler afin qu'il arrive au minima à pouvoir se tenir plus ou moins assis au bord de son lit le buste droit.
Il est levé à ce jour maximum 3h. Parce que la peau qui a été lésée ne le supporte pas plus de pression….il a donc perdu toute sa mobilité, toute sa liberté. Il a également perdu beaucoup de ses facultés cognitives car la stimulation n'a pas été suffisante et cela fait plus d'un an qu'il n'a plus respiré l'air extérieur malgré mes demandes répétées…Voilà des conséquences visibles et mesurables de toute cette période juste incompréhensible.

Ma belle-mère malgré le fait qu'elle n'a encore jamais pu vivre une vie normale dans votre établissement depuis le mois de mai dernier a trouvé son équilibre. Nous l'avons vue au plus bas début 2020 et aujourd'hui elle a retrouvé une vitalité et un visage qui fait vraiment plaisir à voir. Merci à la médication et un grand merci au personnel qui l'accompagne au quotidien.
Ma belle-mère n'a jamais reçu de sa vie un vaccin de la grippe. Elle a un bon système immunitaire. Elle est en bonne santé et nous avons à coeur de préserver celle-ci.

Nous avons également à coeur qu'elle puisse vivre de manière sereine ses dernières années et qu'elle puisse bénéficier d'une vie normale au sein de l'EMS. Qu'elle puisse jouir des activités librement et s'épanouir avec les autre résidents .

Si nous faisons la balance des bénéfices et des risques par rapport à ce vaccin, les risques sont nettement plus importants que les bénéfices au vu des nombreux points d'interrogations sur l'interaction de cette nouvelle substance au niveau du système humain.

Vous avouerez en outre que les courbes de mortalité que nous pouvons observer sur le site de l'OFSP sont tout à fait normales comparées aux autres années. Je peine donc à comprendre toutes ces restrictions, toute cette agitation et la dictature destructrice mise en place depuis un an.

Au niveau éthique c'est vraiment très interpellant d'entendre : "Je suis la seule à devoir porter un masque, je ne suis pas vaccinée !" et de la voir brandir une feuille de restrictions de ses mouvements. Il ne manque plus que le bonnet d'âne.

Je suis choquée. Comment peut-on stigmatiser pareillement une personne de 84 ans dans son lieu de vie ?

Comment pouvez-vous affirmer que ces injections protègent de quoi que ce soit ? Sur quelle base ?

Si je suis la logique des décideurs, et au vu que pratiquement tous on été vaccinés, je vous suggère de la laisser vivre aujourd'hui tranquillement et en bonne santé…les autres résidents sont couverts et protégés, ils sont vaccinés. Ils n'ont donc rien à craindre me semble-t-il …

Je vous ai répété à plusieurs reprises et de vive voix que pour moi la mort fait partie de la vie et je suis tranquille avec cette idée. Par contre ce que vous lui faites subir aujourd'hui au nom des directives cantonales et sanitaires à appliquer ça s'apparente à un abus de pouvoir. UNE ATTEINTE A SON INTEGRITE PHYSIQUE ET PSYCHIQUE , à sa liberté, à son et à notre libre arbitre.

Au nom de quoi elle est aujourd'hui une menace pour l'établissement ? Où sont les preuves qui étayent ces décisions ? Comment le personnel peut-il se permettre de lui dire…"Vous pouvez encore changer d'avis, pour être libérée c'est encore possible de vous faire vacciner."

Jusqu'à aujourd'hui j'ai accepté et me suis pliée à TOUTES les contraintes sans trop réagir. Là, ça dépasse tout entendement et je vous demande de revoir vos exigences envers ma belle-mère.

Mon papa vous comprendrez bien qu'avec ce qu'il a vécu, son système immunitaire est déjà assez sollicité sans lui rajouter logiquement des problèmes en plus à gérer.

J'espère de tout coeur que ces quelques lignes vous amèneront à faire preuve de discernement et que vous allez libérer ma belle-mère et mon papa du carcan dans lequel vous êtes en train de les enfermer et de les stigmatiser.

Dans l'attente de votre réponse, je vous souhaite une agréable journée.

Mon identité est connue de la direction. »

Fille:

« J’aimerai apporter mon témoignage au sujet de mon papa qui réside dans un EMS du canton de Vaud. Il souffre de troubles cognitifs et de démence sénile, ce qui fait qu'il ne nous reconnait plus, vit dans son monde, ne participe à aucune activité. Nous sommes, avec mes sœurs, ses répondants légaux.

Dès que les vaccins ont été annoncé en Suisse, 'ai pris contact téléphoniquement avec la directrice et l'infirmière en chef pour savoir ce qu'il en était exactement. La réponse était que nous serions averties, mes 2 sœurs et moi, avant toute décision. je leur ai fait part de mon désir de ne pas autoriser cette vaccination sur mon papa, mais qu'il fallait que j'en parle à mes sœurs.

Le vendredi 15 janvier, une de mes sœurs apprend, par hasard, que la vaccination sera faite le lundi suivant pour tous les résidents, sauf une femme. D'un commun accord, nous décidons de nous y opposer, d'abord le samedi par téléphone, puis lors d'une visite le dimanche par écrit, avec signature de réception.
Le lundi, je reprends contact afin de m'assurer que le vaccin ne sera pas fait et pour savoir pourquoi nous n'avons pas été contactées avant.

D'après la directrice, le médecin du home lui a transmis le consentement de tous les résidents. Je demande à ce qu'il m'appelle. D'après ses dires, mon papa l'aurait reconnu (ah bon !) et lui aurait dit Oui à la demande s’il voulait être vacciné.

Ce qui me révolte le plus, c'est que personne ne semble voir qu'il y a un problème avec ce qui s'est passé.

Lors de mes discussions avec la direction du home, j'avais aussi demandé quelles seraient les potentielles conséquences d'une non-vaccination. La réponse a été, aucune, sauf une quarantaine si sortie.

Il y a 2 semaines, je suis allée voir mon papa, et j'ai eu la mauvaise surprise d'apprendre que, vu qu'il n'est pas vacciné. il doit porter un masque lors des visites....aucun courrier à ce sujet...

je vous passe les détails de sa difficulté à respirer ainsi.
je viens d'envoyer un courrier à la directrice en lui demandant des explications de cette décision et de la non communication à cet égard. Je me rends compte qu'il faut faire toute démarche par écrit. »

– Sylvie

Fils:

« Ma maman était en EMS depuis 3 ans, (jamais malade, à part plusieurs micro-AVC, d'où impotence) et en ce début d'année 2021, on nous a demandé si on permettait la vaccination, et mon frère ainé avait accepté, tout le mois de janvier son étage fut confiné, mais dès le début février on pouvait à nouveau la visiter, le 4 février elle fut vaccinée et depuis son état s'était considérablement détérioré au point qu'elle régurgitait tous ses aliments, et lors de la seule visite de la semaine suivante on fut choqué par son état !

Dès lors on avait appelé l'EMS, et au vu de son état, ls nous ont permis d'aller la voir tous les jours et que tous les membres famille et très proches amis ont pu lui dire au revoir, et depuis la dernière qui avait pu se libérer pour lui faire ses adieux, elle est partie vers minuit. Décédée le 16 février. »

Je témoigne pour ma mère:

« Depuis plusieurs mois j’ai tenté d’expliquer à ma mère de 78 ans que les vaccins n’étaient pas sûr et les dangers réels. Abusée par la télévision et ses amis, elle m’a toujours prise pour un complotiste et depuis peu elle croit que je suis rentré dans une secte. Ses amis et le lieu pour personnes âgées qu’elle fréquente lui ayant fait comprendre qu’elle ne serait plus admise et parce qu’elle est pétrie de peur, elle s’est faite vacciner en mi mai, sans qu’on l’informe du moindre risque sanitaire ni du fait qu’elle ne bénéficie d’aucune aide en cas d’effets secondaires.

Deux semaines après je l’ai visitée. Ayant vu une vidéo sur le net, j’avais un aimant néodim. Celui-ci a collé sans problème sur son épaule malgré ses mouvements violents de bras. Elle a paniqué et a voulu croire que j’avais fait quelque chose, mais elle a voulu garder l’aimant. Elle m’a téléphoné une semaine plus tard pour me dire fièrement qu’elle avait fait la deuxième piqure par le médecin cantonal ( lequel, mais pour ma mère il y en a qu’un le meilleur du canton ) dont elle avait la signature sur son attestation, grande fierté.

Je lui ai demandé si elle lui avait montré le coup de l’aimant. Elle n’ avais pas osé, bien qu’ayant l’aimant sur elle, mais avait demandé pourquoi un aimant collait à l’endroit exact de l’injection.

Le médecin cantonal lui a fièrement répondu qu’il n’en avait aucune idée mais que cela n’avait aucun rapport et surtout aucune inquiétude à avoir, il lui a dit ce qu’elle voulait entendre et sans autre lui a fait la suivante.

Il a trompé ma mère et sciemment occulté un effet secondaire parrait-il impossible qu’il avait la possibilité de vérifier par lui même, car cela a beaucoup trop d’implications. Ce Monsieur, qui n’a de médecin que le titre a manifestement fait comme une partie de sa corporation, il a signé un serment d’hypocrite. Il est parfaitement conscient des dangers, je parie qu’il n’est pas vacciné.

Je me doute aussi que si elle s’est fait piquer par ce personnage et pas un autre, c’est parce qu’elle a demandé des renseignements sur cet effet lorsqu’elle a voulu un rendez-vous d’urgence après mon passage et a été immédiatement dirigée vers lui.

Je le remercie du fond du coeur, car ma mère ne veut plus me voir et je risque de la perdre prématurément.

Je précise que j’ai depuis testé deux autres personnes vaccinées et l’aimant n’a pas tenu. Ceci fait une sur trois actuellement. Affaire a suivre. »

Famille:

« Témoignage protocole de mise en quarantaine Service d’un médecin cantonal….

j’aimerais vous faire parvenir mon témoignage au sujet du Service du médecin cantonal et de la manière dont sont prises les décisions d’isolement et de quarantaine. Nous étions 4 personnes ensemble en vacances: 3 ont été testées positives au retour de vacances, mais les 4 personnes ont eu des consignes différentes allant de zéro à 17 jours de quarantaine et d’isolement.

1ère personne cas contact vaccinée deux fois: aucune mesure de quarantaine n’est prise selon le protocole en vigueur que je cite :

Exemption de quarantaine contact
Vaccination
Les personnes vaccinées sont exemptées de quarantaine suite à un contact étroit avec un cas confirmé de SARS-Cov-2 (COVID-19) pour une durée de 12 mois à compter du jour où la vaccination a été pleinement effectuée.
Il s’est avéré que la personne s’est fait tester d’elle-même, avec un résultat positif et a été mise à l’isolement. Mais si cette personne ne s’était pas fait testée d’elle-même, elle aurait pu aller travailler et répandre le virus !

2ème personne: 13 ans, non vaccinée, positive: on compte qu’elle a eu des symptômes au cours des 4 jours précédent son test, elle ne sera isolée que 6 jours après sont test.

3ème personne: 53 ans, non vaccinée, présente des symptômes 5 jours avant le test: il est décrété que 5 jours c’est trop long, ces symptômes pourraient être dus à autre chose: résultat 10 jours d’isolement depuis le jour du test.

4ème personne: 13 ans, non vacciné. 10 jours de mise à l’isolement comme cas contact, sans être testé. Possibilité au 7ème jour de se faire tester.

Son test est « positif » au 7ème jour: voici le résultat:
« Prélèvement : Nasopharyngé Amplification par PCR ou RT-PCR Coronavirus SARS-CoV-2 (PCR) positive * CT Coronavirus SARS-CoV-2 38 Note figurant sur le résultat du test et signée par 3 médecins :
Le Ct est le nombre de cycles PCR auquel le signal positif sort. Les Ct inférieurs à 36 indiquent que le patient est positif. Les valeurs supérieures à 36 indiquent une détection du virus dans le cas soit d’un début soit d’une fin
de virémie. L’interprétation doit se faire en fonction de la clinique et de l’historique du patient. »

La décision sera de maintenir le patient 10 jours de plus à l’isolement avec un total de 17 jours d’enferment sans pouvoir sortir. 7 jours de quarantaine plus 10 jours d’isolement.

Cette décision sera prise en considérant les points suivants.

Après 8 jours d’isolement et bien qu’il ait passé ses vacances avec 3 personnes positives, le service du médecin cantonal conclu à un début de virémie. Comme est-possible alors qu’il n’ait plus sorti depuis 8 jours ? L’historique du patient serait le suivant :
– Il aurait attrapé le virus le dernier jour des vacances (alors qu’il a dormi avec une personne infectée pendant 8 jours)
– Le temps entre le moment où il l’aurait attrapé et l’apparition des premiers symptômes ne peut être calculé, vu qu’il n’a pas de symptômes. Il serait donc asymptomatique (20% des cas). Ou alors il aurait un temps d’incubation très long, supérieur à 11 jours (date de la discussion) ce qui est statistiquement improbable. Le plus souvent c’est 5 jours.

Rappelons un élément important, dont il ne sera pas tenu compte: si mon fils, il s’agit de lui, n’avait pas fait ce test à J-7, il aurait pu sortir à J-10 sans aucun contrôle !

Passons maintenant à une deuxième série d’arguments du dernier médecin qui a scellé définitivement la décision au 9ème jour d’isolement sans symptôme:
– « le ct est biaisé, il n’est qu’à 38 parce que le frotti a été mal fait en pharmacie » dixit !
– « Nous n’avons pas de conditions légales pour laisser sortir quelqu’un qui a un test positif à J-7, même si le résultat de ce test est sujet à l’interprétation du médecin» « il n’y a pas de marge légale » (là j’aurais vraiment dû demandé à quel article de la loi sur les épidémies il se référait ?!)
– Refus de tester une seconde fois pour départager le cas ! Si je fais tester mon fils une deuxième fois c’est sous ma responsabilité (entendre juridique, voir la Loi sur les épidémie LEp, article 83 al.,1 let. h LEp). Toujours est-il que le résultat d’un 2ème test PCR ne serait pas pris en compte, même s’il est négatif !
– Là s’arrête la logique, je comprends que toute discussion est inutile.
En ce qui concerne la loi sur les épidémies LEp, les sanctions figurent à l’article 83. On y apprend au point 2 que :
2 Quiconque agit par négligence est puni d’une amende de 5000 francs au plus pour les contraventions visées à l’al. 1.

Son père et moi avons bataillé, appelé plusieurs des médecins de seconde ligne, signalé que cet enfant a mal vécu le confinement (mars, avril 2020) au plan psychologique (renferment sur soi, il a mis des mois à retrouver une vie sociale avec ses copains après). Cet argument n’a pas été retenu. Le verdict a été maintenu malgré tout. Bien qu’il soit mal, bien qu’il reste seul à la maison pendant que je vais au travail.

Il a été dit qu’il faudrait qu’il aille très, très mal (pensées suicidaires) pour faire intervenir un pédopsychiatre !

Autre conséquence : son père est placé lui aussi en quarantaine 10 jours comme cas contact : bien qu’il soit vacciné 1 dose, bien qu’il ait un test PCR négatif et aucun symptôme. Les conséquences professionnelles suite à ce placement à l’isolement ne sont pas prises en compte. »

Témoignages des enseignants et éducateurs

Professeur de chant:

« J‘ai reçu le 7 octobre la 2e dose du vaccin Moderna.
La première nuit, j’ai ressenti les symptômes classiques des effets secondaires (frissons, fièvre).

La nuit suivante, j’ai eu des tremblements nerveux que j‘ai d’abord assimilés à une crise d’angoisse, bien que je n’aie aucune raison tangible de le ressentir (j’étais en vacances à Venise!)

Les symptômes de son répétés 4 nuits après, puis de plus en plus fréquemment et violemment, jusqu’à ce que j’appelle l’ambulance un matin. Là-bas on m‘a fait un électrocardiogramme et les tests nerveux pour écarter l’anévrisme et confiée à une infirmière psychiatrique, puis renvoyée à la maison avec du Temesta.

J’ai consulté mon médecin de famille qui m‘a prescrit des antidépresseurs, des somnifères et des inhibiteurs de GABA qui n‘ont pas d’effet sur les symptômes.
Les crises étant toujours présentes et violentes, je suis retournée à l’hôpital où on m‘a prescrit une IRM sur laquelle rien n‘est visible.

J‘ai dû diminuer mon travail d’indépendante à 50% Je suis actuellement dans l’attente de mon rendez-vous avec un neurologue le 10 décembre prochain.
»

Enseignante/éducatrice:

 « Premièrement: J'assiste à un mariage il y a quelques semaines. J'apprends ensuite qu'une personne à ma table est testée positive. Après que cette personne aie alerté le monde du Covid, je reçois une attestation et un ordre de rester en quarantaine, car je ne suis pas vaccinée. Les autres personnes présentes à table ne doivent pas faire de quarantaine, car ils sont tous vaccinés. La personne testée positive est vaccinée double dose.

Je n'ai pas eu de symptômes, mais il m'a été interdit d'aller travailler et de sortir de chez moi.

Deuxièmement: je travaille dans une institution médico-sociale et je dois me soumettre au test salivaire une fois par semaine car je ne suis pas vaccinée. Mes collègues vaccinés, non. Au vu de ce qui précède, sachant que les vaccinés sont tout aussi porteurs et transmetteurs du virus, pourquoi ce ne sont que les vaccinés qui doivent subir ces tests et cette discrimination? »

Enseignante de théâtre:

 « Je suis enseignante d expression artistique théâtre principalement!

J’ai deux expériences à partager:

1.  Personnellement j’ai constaté que après 2 heures de réunion dans une salle close je passais de 98 à 93 d oxygène dans le sans (mesure par oxymètre avant et après).

Cela me met en danger mais aucune possibilité de ne pas mettre le masque en réunion dans une petite salle de réunion de la ville de Lausanne…

Je me sentais d’un coup essoufflée et très fatiguée!

Mais malheureusement malgré mon certificat médical d incapacité à porter le masque je me retrouve forcé à le faire sous peine de perdre mes contrats avec la ville…

2. En tant qu enseignante de théâtre, je constate les enfants devant porter le masque dans une fatigue chronique extrême.. plus d envie … plus d nrj plus d'idée!!

C est extrêmement flagrant des élèves que je connais depuis des années sont littéralement détruit dans leur évolution construction par ce port du masque!

Au théâtre ils osent l’exprimer car je suis totalement ouverte à ce sujet et ils sont soulagés de voir enfin comme ils disent des adultes qui sont ouverts à discussion sur ce sujet!!!

Je suis scandalisé qu’on impose ça à la nouvelle génération qu on sacrifie totalement pour une règle qui est sans étude réelle et sans fondement prouvé!

Ont ils nos dirigeants calculés les bénéfices risques ?

J’ai peur pour nos enfants !  »

Educateur sportif:

 « Après 15 ans d'Armée de Terre je suis devenu Coach sportif Brevet d'Etat Métiers de la Forme en 2005 et j'ai passé à 51 ans en 2019 le BEES AAN (Maître Nageur) que j'ai obtenu en 2020.

J'ai pratiqué un ou plusieurs sports en club depuis l'âge de 7 ans. Natation, Akido, Jogging, Tennis, Vtt, Ski, Danses de Salon, Aérobic, Musculation.

J'ai galèré 7 ans de 1999 à 2006 avec des allergies diverses Yeux qui piquent et pleurent, Maux de gorge, Irritation oreilles, irritation et écoulement du nez etc etc et ceci 2 à 3 mois par ans pendant 7 ans. Les allergologues ne pouvaient pas me désensibiliser car trop d'allergènes donc 7 années de Telfast, Aerius et autres traitements médicamenteux avec toujours une augmentation de la posologie. Jamais les solutions proposés se m'ont satisfait. J'ai tout arrêté par dégout des réponses des médecins à mon problème.

J'ai fait mes recherches et j'ai commencé avec doctossimo qui venait d'arriver en 2005 ou 2006 je crois pour ma part. Le Web aussi m'a permis de faire des recherches sur le fonctionnement du corps humain. Mon année de formation (entrée sur concours donc travail en amont) des métiers de la forme m'ont donné des notions sur la physiologie, l'anatomie, la bio-mécanique, l'endocrinologie, le système nerveux, Cardio-respiratoire, la diététique, la programmation d'un entraînement sportif.

Toute cette science apprise m'ont permis de corriger mes erreurs de jeunesse sportives (34 ans à faire du sport sans science). Je pense que si j'avais continuer sans cette science, j'aurais arrêté le sport par blessure et par mauvaise utilisation de mon corps.

Je n'ai pas pris un médicament depuis 1999 et mon dernier vaccin date de 1998. J'ai vu mon médecin traitant uniquement pour avoir des certificats sportifs. J'ai du voir un kiné en 8 séances en 2001 pour une contracture au mollet et sinon j'ai du avoir une ou 2 bonnes grippes en 2016 et 2018 (Cloué au lit avec fièvre, courbatures, Céphalée enfin la totale 3 jours et soigné qu'avec du repos du jeûne) et une indigestion en Janvier 2018 le lendemain d'un mariage suivi d'un trajet de 800 km en voiture.(encore une fois repos et dodo 2 à 3 jours. J'ai connu aussi deux lumbagos dans ma vie dont un carabiné en 2008 qui m'a mis à terre 3 jours à quatre pattes et 2 mois à m'en remettre en rééduquant mon dos avec mes connaissances en bio-mécanique. (et oui je n'ai vu personne pour me soigner, un peu guerrier sur ce coup là, heureusement j'avais fait mes courses lol).

Après mon arrêt de traitement anti allergie, j'ai changer mon alimentation et cela a diminué considérablement mes allergies (Pollens, graminées, Noisetier, Bouleau, Cyprès, et autres). Ces allergies ont totalement disparue en 2007 soit 2 ans après la suppression d'aliments, surtout les transformés. Yaourt, Barres chocolatés Bounty, Mars , Fromage de lait de vache, Gruyère addict lol, Lait (progressivement), Sucre dans le café (progressivement), Chips, Jambon, Saucisson sec (progressivement) Soda dont Coca le pain blanc, la baguette etc etc etc ......

Je me suis dirigé progressivement vers une diminution énorme de la viande animale même pour avoir des périodes de 2 à 5 mois de végétarisme et testé le sans gluten. J'ai ces derniers temps essayé le jeûne de 2 à 3 jours et je pratique actuellement le jeûne de 16 h de 20h à 14 h . Depuis 2 mois je m'expérimente avec la méthode Wim Hof (Ice Man) J'en suis à 11H45 d'apnée avec une moyenne de 2 minutes 15 et un maxi de 3 minutes 37. Je fais 30 pompes en apnée tous les matins et en suis à 35 douches de 2 à 5 minutes sous l'eau froide et de la méditation. Je sent encore un renforcement de mon corps et une meilleures forme physique à 53 ans qu'à 30 ans .......enfin tout cela pour témoigner et dire que dans la vie en bonne santé il n'y a pas que le vaccin.

Sportivement Votre  »

Educatrice spécialisée:

 « Voici mon courrier e-mail envoyé hier soir à la direction du droit international public suisse. J'attends leur réponse et je vous la transmettrais.

Bonjour,

Citoyenne suissesse, je suis extrêmement questionnée sur la réelle légalité dans l'application du pass sanitaire.

En effet, les droits de l'homme ainsi que la constitution fédérale garantissent le respect du domaine privé et garantissent aussi la liberté de penser et de circuler.

Comment est ce donc possible au vu des différentes lois que le pass sanitaire soit mis en pratique, notamment par exemple dans des écoles publiques - dans des lieux médicaux publics - dans les bibliothèques ?

Cela implique un déni total du droit de liberté, de circuler, et de fait punit le choix du refus de vaccination COVID par libre non consentement éclairé ...

N'étant pas du domaine du droit, je vous pose donc la question et vous remercie infiniment par avance de m'informer sur la légalité officielle de la mise en place de ce pass, le droit européen et celui des droits de l'homme et du citoyen surplombant celui du droit Suisse.

Quels sont les articles de lois qui peuvent prévaloir sur le liberté de la vie privée ?
Quels sont les articles de lois qui peuvent prévaloir sur la liberté de circuler ?
Quels sont les articles de lois qui peuvent prévaloir sur la liberté de penser et de choisir suite à un non constentement éclairé ?

En effet, les données médicales ne sont elles pas des données privées et personnelles que je dois transmettre uniquement dans certains contextes bien spécifiques (par exemple: en salle de sport si problème cardiaque par exemple, maladies transmissibles ou type épilepsie si travail dans le soin ou cuisine avec des risques importants de blessures sanguines, etc...), cependant ces données ne doivent jamais être prétexte à discrimination mais à protection.

Au vu de l'inefficacité du vaccin face à la transmission et contamination, comment se fait il qu'il y advienne ‘légalement’ une telle discrimination médicale - sociale - libertaire ?

En vous remerciant pour votre réponse à venir, je vous adresse mes meilleurs messages et vous souhaite une agréable fin de semaine. »

Témoignage avec photos

Citoyen – Jérôme :

« Je vous écris pour vous faire par de mes problèmes de santé suite à la 3ème dose de Moderna, administré le 30.12.2021.

7 jours après le booster j’ai commencé à avoir des démangeaisons et des tâches sur tout le corps.

L’hôpital d’Yverdon m’a traité contre la teigne, deux jours après les tâches empiraient elles sont sorties sur tout le corps dans les mains, sous les pieds, sur les yeux.

Ma femme qui connait et s’intéresse à la médecine m’a tout de suite dit que ça n’était pas la teigne ! Elle a donc contacté le CHUV service de dermatologie.

Nous leur avons envoyé un mail avec les photos de ma problématique. 1 heure même pas après le médecin en dermatologie a téléphoner pour me dire de stopper de suite le traitement contre la teigne car je faisais une inflammation du sang probablement dû au Booster Moderna. (3ème dose). 

1 mois et demi après je ne suis toujours pas guéri !!! Que faut-il faire ? Je suis en bonne santé généralement et ne vais jamais chez le médecin. »

 

Autres témoignages...

Anonyme (45 ans) :

« Après le booster Moderna en décembre 2021 :

  • Dix jours après la dose, urticaire généralisé sur l'entier du corps durant six semaines (surtout la nuit - horrible)
  • Plaques rouges dans le cou (sang sous la peau)
  • Dermographisme
  • Douleurs lombaires durant trois mois (avec injections)
  • Battements du coeur irréguliers (avec douleurs thoraciques)
  • Grande fatigue
  • Vieillissement accéléré (cheveux devenus gris, clavitie - avant: peu de cheveux gris et peu de perte de cheveux)

    Maintenant : les muqueuses très fragiles, toujours des aphtes, des boutons, etc.
    Jamais eu cela avant le vaccin ; mon corps a changé, je ne le reconnais plus !

    Du côté de ma tante : cancer fulgurant, stade terminal (qui était en rémission depuis huit ans, encore en parfaite santé en mars 2021 avant la vaccination selon des contrôles) ;

    PS: mes médecins ont reconnu que les effets secondaires sont liés aux vaccins; j'ai été annoncé à l'OFSP

    . »

Maman de 2 filles et victime de problèmes neurologiques :

« 1 semaine après la 1ère dose de Pfizer (01.05.2021), paralysie des jambes. S’en est suivi une insensibilité des doigts (sauf les pouces). Après plusieurs IRM, radios et scanners … les médecins ont conclu à un problème de cervicales C4-C5-C6 : opération le 18.05.2022 !!! A ce jour je n’ai toujours pas retrouvé l’usage total de mes jambes ni 0% de ma sensibilité dans les doigts !!! Je n’ai jamais eu de soucis de santé dans le passé et depuis ce vaccin, ma vie a été chamboulée. »

Citoyenne:

« J’ai développé une allergie au vaccin contre le COVID dès la 1ère dose (10.12.21). 3 jours après avoir été vaccinée, j’ai été victime de démangeaisons - je faisais de l’urticaire.

Je me suis réveillée un jour avec des œdèmes sur le visage, complètement défigurée ! J’avais également d’importantes quintes de toux ainsi que du mal à respirer. J’ai dû me rendre aux urgences mais aucun lien avec le vaccin n’a été établi. On m’a plutôt suggéré d’aller voir un allergologue car il s’agissait sûrement d’allergie à un aliment. J’ai fait de l’urticaire tous les jours et, malgré cela, quand je me suis rendue au centre de vaccination pour la 2ème dose, le feu vert a été donné aux infirmiers pour me vaccine à nouveau. Pourtant, j’ai expliqué au médecin ce qu’il m’arrivait et montré les photos. Les allergologues ont jugé OK la situation alors qu’ils ont eux-mêmes confirmé le fait que cela venait sûrement du vaccin.

Suite à cela, 3-4 jours plus tard, je me réveille à nouveau avec des œdèmes sur le visage et sur les mains + de l’urticaire partout sur le corps (et même les parties genitales !). Je me rends aux urgences après avoir passé la journée comme ça et parce que mes mains étaient beaucoup trop douloureuses. Même la prise d’anti-histaminique n’a rien changé. La médecin qui m’a ausculté me l’a confirmé ; il s’agit bien d’une réaction au vaccin. Elle était surtout très étonnée qu’on m’ait administré la 2ème dose sans aucune surveillance ni analyse en amont : elle aurait pu m’être fatale. Suite à tout ça, j’ai pris rdv avec mon médecin traitant qui a pris contact avec les allergologues du CHUV : la procédure est donc lancée (et les frais médicaux avec ). Ils doivent maintenant déterminer s’il s’agit ou non d’une allergie au vaccin. Si c’est avéré, je serai exemptée de la 3ème dose.

J’ai toujours été contre ce vaccin et le principe de pass sanitaire. J’ai dû me vacciner pour voyager dans mon pays - mes parents y vivent. »

Citoyen 65+:

« Je me suis fais vacciné avec le vaccin de Moderna et lors de ma deuxième dose, la nuit même je n'avais plus de force dans les jambes. Je me suis levé pour me rendre aux toilettes et je suis tomber sans aucune force pour me relever. Les effets étaient une perte de force dans mes jambes avec difficulté pour me déplacer et aussi une respiration plus compliquée.

Cinq jours plus tard, je me suis retrouver à l'hôpital sans savoir ce qu'il s'est passé. On m'a expliqué que je me suis écrouler inconscient au milieu de la route et que j'ai été pris en charge par l'ambulance.

Après plusieurs examens aux urgences (IRM, contrôle du cœur et radiographie du corps) On m'explique que je n'ai rien et que je peux rentrer. Malgré cela j'ai toujours de la peine aux niveau de mes jambes et lors d'efforts physiques, chose qui n'étant pas le cas avant ma deuxième dose. »

Technicien de laboratoire:

« J'ai reçu deux doses de Moderna, la deuxième dose le 5 juillet 2021, peu après laquelle tous mes symptômes ont commencé.

On m'a injecté le médicament à l'hôpital cantonal de Baden, où l'on m'a distribué des brochures indiquant les effets secondaires et les réactions habituelles.

J'ai remarqué mes premiers symptômes 3 jours après la deuxième dose. J'ai eu des tremblements très perceptibles dans les deux mains (je travaille dans un laboratoire avec de la verrerie, etc.) et plus tard dans la semaine, j'ai eu des maux de tête sévères et persistants qui n'ont pas pu être traités avec des AINS et j'ai été frappé par des vagues de fatigue extrêmes, au point que je me suis presque évanoui.

De plus, au cours de la première ou des deux premières semaines, j'ai remarqué une douleur constante et brûlante dans ma poitrine, au centre gauche. Cela m'a incité à appeler mon prestataire de télémédecine, après quoi je me suis rendu aux urgences pour faire vérifier mes symptômes. La troponine était cependant normale (<40 ng/L).

Deux semaines après ma deuxième dose, j'ai contracté une maladie grave sans cause évidente (à part l'injection). J'étais cloué au lit, presque délirant. Je n'avais pas d'appétit, je manquais complètement d'énergie et j'avais l'impression que j'allais mourir (sans blague). Cela a duré environ un mois, pendant lequel j'étais incapable de travailler ou de prendre soin de moi. À partir de ce moment-là, certains des symptômes se sont atténués, mon appétit et mon énergie sont revenus quelque peu et j'ai recommencé à travailler à 50 %. Depuis, je présente essentiellement les mêmes symptômes :

  • Brouillard cérébral (problèmes de concentration, oublis, erreurs à l'écrit et à l'oral, aucune clarté mentale).
    Douleurs thoraciques, tachycardie, battements irréguliers fréquents (Extrasystolen), cœur qui bat la chamade.
    Problèmes de vision, neige visuelle, mauvaise acuité visuelle, douleur sourde derrière les yeux, flotteurs
    Problèmes gastro-intestinaux, reflux acide, diarrhée occasionnelle avec crampes sévères.
    Fatigue chronique, manque d'énergie, intolérance à l'effort
    douleurs musculaires et articulaires dans les jambes et les épaules
    faiblesse musculaire et tremblements sous charge
    difficulté à se lever
    dépression

J'ai fait une IRM cérébrale (normale), un EMG et un bilan neurologique complet (normal), un ECG (angedeuteter Rechtsschenkelblock, RBBB) et plusieurs analyses sanguines (pas d'anomalies sauf une carence en B9, pour laquelle je me supplémente). J'ai l'intention de demander des analyses de sang plus détaillées, comme le suggère Florian Schilling

Je n'ai reçu aucun diagnostic jusqu'à présent, et je ne l'attends pas non plus. J'ai lu des centaines de rapports d'autres patients, dont aucun n'a reçu de diagnostic concret.

Je me traite moi-même. Je suis sous Valsartan 40 mg pour une suspicion d'AABs de l'Angiotensine (article de Berlin Cures sur les autoanticorps fonctionnels dans les longs courriers Covid, beaucoup de personnes vaccinées ont les mêmes AABs). J'ai essayé la Fluvoxamine par intermittence, le Bilaxten et la Cetirizine. Je prends des suppléments de vitamines B, C, D, K, d'acide nicotinique, de curcumine, d'OPC, de quercétine, de sélénium, de cuivre, de bétaïne, de NAC, d'huile oméga 3 et de mélatonine. J'ai fait un peu le ménage dans mon alimentation et j'essaie d'éviter les aliments inflammatoires.

Comme je prends tant de choses, je ne suis pas sûre de ce qui m'aide, mais je ne veux pas arrêter pour voir si cela m'aide.

Je pense que mon médecin est 'de mon côté' en ce qui concerne la cause de ma blessure, bien que je n'aie rien d'écrit à ce sujet. J'ai visité le service des longues covidités à l'hôpital cantonal de Baden et j'ai été consulté par le Dr Ferrari Pedrini. Dans son rapport, elle déclare qu'elle considère que ma blessure est le résultat de la vaccination.

Je suis au courant de certains traitements car je suis très actif sur quelques plateformes où les gens échangent des idées et des expériences sur les lésions dues au vaccin contre le covid. Je me suis également renseigné sur la littérature émergente sur le covid, car les deux affections semblent être très similaires en termes de symptomatologie et donc de mécanisme. »

Citoyenne:

« Le 3 juin 2021 j’ai fait le vaccin du Covid (moderna) à Neuchâtel sur le site de la Maladière centre. Je suis arrivée dans cette grande salle et quand c’est mon tour qui est arrivé j’ai dit à la personne que j’avais des allergies alimentaires et cette personne a dit que c’était pas grave et que ça faisait rien avec ce vaccin. Une fois dans la petite salle pour me faire vacciner j’ai redis que j’avais des allergies alimentaires et personne n’y a fait attention mis à part que je devais attendre 30’ et non 15’ après le vaccin.

Ce que je savais pas c’est que normalement ils auraient dû appeler le médecin cantonal et lui aurait dû décider ou pas de faire le vaccin.

Donc on m’a fait le vaccin et 2’ après je me suis sentie mal et ça ne piquait partout et j’ai commencer à me sentir mal. Ils m’ont mise dans une salle et là la catastrophe j’ai perdu connaissance et je me suis réveillée à l’hôpital j’ai fait un choc anaphylactique (rapport en ma procession) j’ai du rester quelques heures pour observation .quand j’ai pu sortir on m’a dit que le médecin cantonal allait prendre contact avec moi pour la suite.

Les jours qui on suivi j’ai appeler mon médecin de famille qui a reçu un rapport et il m’a dit que le médecin cantonal allait prendre contact avec moi.

Au bout d’un mois pas de nouvelles rien même pas un appel.

J’ai repris contact mais sans résultat. Ensuite j’ai reçu une facture de l’ambulance à 950.- et la j’ai écrit au département de la santé de Neuchâtel à Monsieur Huguenin qui m’a dit prendre en charge la différence chose qu’il a honorer.

Par contre j’ai pris rendez-vous avec une allergologue qui m’a envoyer au chuv et là ils ont fait des testes car en deux mois j’ai fait 5 chocs anaphylactiques. La catastrophe et eux ont trouvé que j’etait allergique à un conservateur du moderna qui se trouve dans énormément de médicaments.

Depuis ma vie a énormément changer je risque tous les jours ma vie car je ne sais pas de quoi je peux encore être allergique.

De plus j’ai demander à la confédération de prendre en charge les coûts non pris par mon assurance et je reçois une réponse que ce n’est pas une grave atteinte à la santé.

Je dois me battre tous les jours contre ces institutions car personne ne veut vous défendre ou aider c’est un combat que je mène seule et je suis fatiguée mais je pense que les personnes doivent savoir aussi les conséquences à ce vaccin car il font de la propagande pour inciter à le faire. »
– Katia

Citoyenne:

« Suite à mon injection du 29 Décembre au Paquis à Morges avec Pfizer, j'ai des effets indésirables tels que :

Fièvre, maux de tête, frissons, courbatures et toux sèche, comme une angine...

Ces effets durent depuis jeudi 30 Déc et on est aujourd'hui le 3 Janvier...

Sincèrement, je n'ose pas faire la deuxième dose.

J'aimerais savoir si mon organisme présente ces effets plus longtemps que certaines personnes, sur le simple fait que je prenne rarement des médicaments et qu'il n'est tout simplement pas habitué à en prendre ? »

Particulier:

« Je voudrais partager avec vous une expérience récente que je viens de vivre concernant le test PCR….Pour prouver à quel point ce n’est pas fiable !!!

J’étais en vacance dans une région en Suisse et me permets de partager avec vous un fait scandaleux. Vendredi 26.02. 21, étant Français et voulant rentrer en France, j’ai été me faire tester à la permanence médicale du canton. Et samedi matin à la 1ère heure, j’ai reçu le résultat pseudo ‘positif’.

Peu après la médecine cantonale nous appèle pour nous mettre en quarantaine.
Chose que j’ai refusé catégoriquement, en vu de mon instinct sceptique à ce sujet, vu tous les témoignages d’autres faux positif. J’ai contredit avec résistance ce test qui pour moi était une erreur à coup sûr.

Bien sûr, mon intuition me disait que c’était réellement un faux positif.
Face à notre résistance, on s’est fait menacer avec la police si on venait à désobéir aux règles.

Mais vous savez quoi ? Et bien mon ressenti s’est avéré juste…! Coup de théâtre, hier donc le 01.03. 21 fin après-midi, nous avons reçu un nouveau mail et lettre disant qu’il s’agit d’une erreur et qu’en réalité le test est négatif.

C’est juste du foutage de gueule !!!Heureusement étant sûr de mon ressenti de départ, je n’ai pas été en quarantaine et j’ai fait ce que j’avais à faire. Mais le mal a été fait, les torts causés : une grosse pression inutile, des menaces et forcing, départ en France interrompu, traçage illégal...

Puis hier, le 02.03.21, bien sûr la médecine cantonale m’appèle avec une toute petite voix cette fois pour me présenter leur excuse bidon ! Et là je leur ai fait part de notre prise de conscience et information qu’il y a énormément de faux tests positifs qui circulent et que tout cela n’est que pour les statistiques politiques. Ces tests PCR et rapide ne sont absolument pas fiables !!!

C’est vraiment scandaleux de se foutre de l’intelligence humaine à ce point. Voilà, je tenais à témoigner notre cas, pour alarmer cette supercherie afin que la population voit la réalité !!!

En espérant que vous le prendrez en considération tous et ouvrirez enfin les yeux sur cette arnaque du siècle !!! »

Femme de 45 ans à l’AI pour problème de santé:

« J’ai une dispense de port du masque dans les transports publiques (qui sont mon seul moyen de transport). Par respect pour les autres usagers je prends le surclassement 1ère classe afin de ne pas être entourée de gens et les effrayer avec mon visage découvert.

Début janvier j’ai été agressée verbalement par une femme car je ne portais pas mon masque. J’ai essayé de lui expliquer gentiment que j’avais une dispense pour raisons médicales, ce à quoi elle a répondu que c’était un faux. Beaucoup ne comprennent pas qu’un handicap peut être invisible…

Depuis je n’ai plus repris le train et m’enferme chez moi. »

Patiente:

« Je suis hospitalisée en clinique pour examens et j’ai refuse le PCR pour des raisons physiologiques, demandant un test salivaire, impossible me répond le responsable. Alors je demande quel traitement on propose si test positif ? Pas de traitement mais mis en isolement à la maison?..donc ..pas de test.

Je demande quand le pneumologue passera me voir afin de me donner un traitement ? Si vous avez un test négatif sinon il ne passera pas !!!

Ceci est simplement honteux de la part d’un médecin. »

Patient:

« Bonjour, ce petit témoignage pour dire comment j’ai été reçue aux urgences suite à un malaise. Tout d’abord je tiens à remercier les ambulanciers pour leur travail et leur empathie qui m’ont rassurée.

Aux urgences, ce qui m’a le plus choqué, c’est leur insistance à vouloir me faire un test que je ne désirai pas, que j’ai fini par accepter, grrr alors que j’étais là parce que j’avais mes intestins bloqués, juste dit « ah oui on entend des gaz ».

De plus les résultats ne m’ont pas été communiqué car, soit disant ils n’avaient pas mon no de tel alors que par deux fois ils m’ont dit que c’était ok et qu’ils avaient aussi celui de mon compagnon. Lorsque n’ayant pas reçu les résultats (j’ai dû annuler 2 rdv) après 2 jours j’ai téléphoné à l’hôpital. On m’a dit que c’était ok, j’étais bien négative, j’ai demandé si j’allais recevoir la réponse par écrit on m’a dit que non que la réponse n’était envoyée que par sms, j’ai donc appelé mon médecin pour savoir s’il avait reçu un rapport, cela 4 jours après mon passage aux urgences, il n’avait rien reçu ! J’ai donc rappelé l’hôpital pour dire que je voulait les résultats par écrit, ce qui a été fait, ils m’ont été envoyé par mail. J’ai rappelé mon médecin 2 jours après, il avait reçu les résultats des analyses et toujours pas de rapport. Au moment où j’écris je ne sais toujours pas si mon médecin a reçu ce fameux rapport. »

Amie:

« Un ami de la famille est très inquiet par rapport au covid, du coup il est persuadé qu’il peut provoquer tous les symptômes qu’on peut ressentir. Il y a quelques jours il a appelé chez nous pour annuler sa visite car « il allait aller se faire tester car il n’arrivait plus à écrire depuis le matin ». Nous avons insisté sur le fait que ce symptôme fait plus penser à un AVC qu’au covid et qu’il devait immédiatement appeler son médecin. Il s’est fait amener au centre médical de Morges toujours persuadé que c’était le covid.

Là-bas, ils l’ont testé, résultat négatif, et l’ont renvoyé chez lui sans autre examen ni prise en charge. Il a quand même appelé son médecin le lendemain, qui suite à des examens a confirmé que c’était bien un AVC… donc ses symptômes ont été ignorés à Morges car ce n’était pas le covid, c’était juste évident que c’était un AVC. »

Adulte:

« Ayant présenté des symptômes « Covid », j’ai effectué un test rapide qui s’est révélé positif. J’ai alors été contacté par la Hotline qui me recommande de rester en isolement et d’attendre que mon état s’améliore. Je précise ici qu’à aucun moment de ce 1er contact, il m’a été recommandé de consulter mon médecin traitant.

Au bout de 8 jours, mon état s’est dégradé (dyspnée, CRP 90 avec infection pulmonaire droite sans hypoxémie). Au 8ème jour, je reçois à nouveau un téléphone de la Hotline à qui je décris mon état qui se détériore et on me répond qu’il faut prolonger mon isolement de 2 jours. A aucun moment, on me conseille de prendre contact avec mon médecin. C’est ce que j’ai fait et le jour même je me voyais administrer un traitement qui a très bien fonctionné car mon état s’est amélioré rapidement. Si je n’avais pas consulté mon médecin, je pense que j’aurais dû me rendre aux urgences de l’hôpital dans les jours suivants.

Dans tout ce processus de Covid, Hotline etc, je pense que l’on implique pas assez les médecins qui peuvent aider les patients avec des traitements appropriés bien avant que les situations se dégradent. »

Citoyen:

« Cette crise politique avant d’être sanitaire est unique parce qu’on en a fait quelque chose de plus monstrueux que la maladie elle-même.

Nous avons aujourd’hui le recul suffisant pourtant nous misons tout sur une solution qui nous abonnera à vie à la vaccination. Créant ainsi un monde dystopique avec des castes de vaccinés…et les autres dont je ferais partie.

Je prends soin de mon corps et j’ai confiance en ses capacités à se défendre. Et c’est le seul axe à suivre. Nous rendre plus résistant. Notre société toxique nous affaiblit. Les lobbies œuvrent dans l’ombre pour que cela reste ainsi. Car la maladie rapporte gros. La lumière sera faite sur ces pratiques mafieuses. Un jour peut-être. J’aimerais tant vivre ce jour-là. Quand nous mettrons la prévention avant la médication, quand nous aurons compris que notre santé c’est avant tout des choix de vie et que ce n’est pas des pilules et des vaccins qui nous aideront à vivre en pleine forme. Au contraire. La iatrogénie est en passe de devenir une des causes majeures de mortalité.

Je suis triste de voir que la majorité adhère aveuglément à la vaccination de masse pour la seule raison que ca leur simplifiera la vie. La lassitude nous a gagnés et la victoire est dans leur camp. Je pensais que nous vivions dans un monde où la raison et le bon sens faisaient foi. Je m’étais trompé. Rien n’est acquis. Et nous devrons lutter pour retrouver nos libertés. Nous ne sommes qu’à l’aube de l’humanité, tels des petits clans mesquins nous nous affrontons encore pour les ressources et le pouvoir. Un jour viendra. »

Citoyen:

« Voici un mail envoyé à la direction de Hornbach;
Par respect envers mes interlocuteurs j’ai effacé leur noms.

Bonjour Madame ..,

Je tiens à vous remercier de votre message qui à apaisé mes ressentis.
Vous avez écris avec beaucoup de respect et de bienveillance, cela m’a touché car la situation vécue qui m’a poussé à réagir était en total opposé à votre humanité.
Je n’étais pas retournée depuis un an dans ce magasin car ma situation personnelle m’oblige à un minimum d’effort. Je me concentre sur les achats essentiels mon état de fatigue ne me permet pas de grands déplacements. Pour des raisons de santé je ne porte pas de masque.

Je choisis mes heures d’achat lorsqu’il y a le moins de monde possible ; aussi, je respecte parfaitement les mesures d’hygiène essentielles.

Afin de ne pas rester que sur l’émotionnel j’aimerais vous remettre par écris les faits qui se sont déroulé mercredi matin le 12 mai 2021 à Hornbach Villeneuve.

Il était 7h40 et suis venue accompagnée. Il n’y avait personne en vue, ni dans le dans le hall ni au début des rayons.

A 50 m. une vendeuse apparaît en téléphonant et se retourne soudain vers moi ; je suis calme et à l’arrêt devant un comptoir. Au loin, sans me saluer, elle se met à m’interpeler confusément et avec une vigueur alarmiste comme si elle venait de découvrir un cambriolage. Je suis extrêmement interloquée. Cette vendeuse appelle également à très vive voix et avec urgence, à travers le magasin, un supérieur en renfort. En attendant que celui-ci accourt à ma hauteur, elle commente mon « grave manquement » (non port du masque) sur le même ton. Encore relativement détendue, je cherche à calmer son agitation verbale et gestuelle. Mais déjà 2 clients apparaissent depuis les rayons, attiré par ce qui se passe.

C’est humiliant de la façon dont se déroule cet incident.

Je sors mes papiers afin de montrer que je suis en règle, je ne savais pas que l’entrée dans cette grande surface m’est refusée par une décision de la direction.

Je suis attristée par le dénigrement vécu. Je réponds fermement qu’il n’y a pas de quoi parler sur ce ton et en voulant montrer les papiers il me répond qu’il en à pleins de gens comme ça ; ses paroles accompagne un geste de sa main, me signifiant que je n’ai rien à faire ici : il me montre la sortie.

La sensation de discrimination est intense d’autant que le supérieur en à également fait une affaire personnelle, dans un premier temps. J’aurais pas ressenti cet événement comme une agression si j’avais été abordée calmement avec respect et que l’on m’explique poliment que : la demande des collaborateurs, pour que je quitte les lieux, n’est pas de leurs choix mais une consigne qu’ils sont dans l’obligation de faire appliquer sur ordre de la direction.
Pour ma part, j’ai mis à disposition mon certificat ; à ce stade il serait bon qu’en face l’on puisse me montrer le règlement par écris. J’ai donc demandé que ce chef veuille bien signer la seconde feuille qui accompagnent mes documents : l’attestation de faits et de droits qui, par sa signature atteste que Hornbach me refuse l’accès.

Je n’aurais jamais pensé en arriver à demander cette signature car aucun magasin ne m’a refusé l’entrée jusqu’à maintenant. Là encore, il me réponds froidement qu’il ne signera rien du tout.

C’est bien d’avoir des règlement, ils sont respectables pour autant qu’il soient cohérents, complètement assumés concrètement appliqués et aussi respectés par tous.

En lisant votre réponse, je respecte le choix de Hornbach qui interdit l’accès à certaines personnes.

C’est votre droit même si je suis en désaccord sur le principe de proportionnalité car des mesures véritablement efficace ne sont pas respectées dans la surface commerciale.
Ayant 2 diplômes plus de 6 ans de formations intensive dans le milieu de soins et 25 années de pratique, j’ai co-créé des protocoles d’hygiène et d’applications de mesures efficaces lors de maladies transmissibles. Un professeur m’a un jour expliqué qu’il valait mieux instaurer des mesures d’hygiène de bases, applicables simplement, car plus un règlement est extrême moins les mesures essentielles sont respectées.

Sans vouloir vous affronter et simplement parce que j’ai été passionnée par ce domaine, permettez-moi s.v.p. d’attirer votre attention sur ces points :

– le contact par le touché avec les mains est le vecteur le plus contaminant dans la transmission de ce virus. Pour cette raison, l’hygiène des mains est très importantes. Le fait d’avoir la possibilité de se les désinfecter participe donc, au plus haut point, à la diminution de contamination.

Il est donc regrettable de découvrir des bouteilles de désinfectants à l’entrée qui sont parfois remplis d’eau ou d’alcool à brûler tant de fois dilué qu’il à même été possible pour certaines personnes de mon entourage de le constater en l’absorbant pour en avoir le cœur net.

– L’usage du masque d’une majorité de non professionnel de la santé est majoritairement déficitaire. Afin d’éviter une propagation de contaminant ou simplement de s’autocontaminer, il est primordial de respecter les règles élémentaires suivantes : avant d’appliquer un masque et après l’avoir retirer les mains doivent être désinfectées. Aussi, si l’on devait le réajuster, la désinfection des mains est de rigueur. Il se porte au maximum 4h puis jeté, Il doit aussi être changer s’il est humide ou souiller.

Les employés, lors du court échange avec moi, ont plusieurs fois touché leur masque sans prendre les mesures de sécurité élémentaire. Aussi, l’un à porté un masque souillé.

Le masque apporte une certaine sécurité si l’on tousse ou postillonne.
Mais actuellement il s’installe surtout une dangereuse fausse idée de sécurité ; A force de désinformation et de focalisation sur celui-ci on en vient à oublier ses critères d’application et des mesures d’autant plus efficaces et basiques.
Je peux vous citer d’autres exemples de non respect de mesures essentielles augmentant les risques de contagions, communément et fréquemment constatés chez les non professionnels de la santé. Mais le but de mon message n’est pas de mettre le doigts sur ces problèmes et encore moins de dénoncer.
J’aimerais avant tout, que le bon sens et le cœur reprenne le dessus.

C’est juste que La façon dont cet événement c’est déroulé m’a choqué. J’avais une fois été témoin d’un vol dans le magasin et mon constat est : il semble préférable d’être arrogant mal intentionné et prêt à crier au racisme pour être traité correctement.
La première pièce jointe est une capture d’écran du document de référence distribué aux forces de l’ordre (police et gendarmerie). Je vous le transmets car le 2ème paragraphes, de Informations diverses, peut vous intéresser. Il vous permettra de consolider et d’affirmer votre position, car selon la personne qui se trouvera un jour à ma place elle pourrait se permettre de mettre en doute certains critères de décision à tendance discriminatoire.

Comme je l’ai relevé, je peux respecter la décision de la direction Hornbach de ne pas laisser accès aux non masqués. Je suis certaine que vous mettez tout en œuvre pour assumer pleinement cette position ; pour cette raison, puis-je s.v.p. vous demander de bien vouloir me l’attester par une signature sur le document en pièce jointe de l’attestation des faits et de droit.

Je vous suis reconnaissante d’avoir mis un peu de dignité en m’écrivant avec VOS mots. En sortant du magasin, je n’ai pas pu retenir mes larmes. Mon accompagnant à été tellement surpris par la disproportion extrême qu’il en à été incapable de réagir sur le moment.

Finalement j’ai réalisé quelque chose d’important : Je me réjouissait de venir acheter une plante pour mon jardin. Mais ce n’est définitivement plus dans ce genre de grande surface que je vais revenir.

J’ai été accueillie très aimablement et respectueusement dans une très grande pépinière. Et pour le matériel qui m’est encore nécessaire à l’entretien de mon petit chalet, je découvre d’autre fournisseur. Il suffit d’un peu plus de temps et de patience mais ça en vaut la joie. Et puis je me détache progressivement de l’aspect matériel de la vie ; il m’apparait à quel point nous vivons dans une société de consommation excessive.

Ma situation de santé est critique ; j’ai appris il y a peu que le cancer à évolué et n’est plus traitable avec la médecine moderne.

Je tiens à ma dignité et mon leitmotiv est « Plutôt mourir debout que vivre à genoux ».

Encore une fois, je vous dis merci à vous et à Madame .. pour l’amabilité la rapidité et l’humanité avec laquelle vous m’avez répondues. Il m’a fallu du temps pour donner mon retour car je savoure surtout le bons moment à l’air libre. Chaque moments est précieux.

Recevez mes meilleures salutations.

Catherine V. »

Parent:

« La 3ème semaine du mois de janvier 2020 je suis restée au lit durant 4 jours avec de la fièvre, des courbatures partout en pensant que j'ai une grosse grippe, car on ne parlait pas encore du Covid... Je n'ai pas été voir un médecin et je n'ai pas pris aucun médicament. Je précise que j'ai 59 ans et les 15 années auparavant je n'étais jamais malade de quoi que ce soit, même pas un rhume.

Il y a 2 mois, ma fille cadette de 27 ans, qui habite avec moi, a été diagnostiquée positive au Covid19 un soir lors qu'elle allait faire une sortie avec des amies dans une discothèque.

Je précise que dans cette même journée nous avons été ensemble durant presque toute la journée et j'avais même fini manger un bout de gâteau qu'elle avait déjà croqué dedans et ne voulait pas le finir, car elle avait mal à la gorge.

Je précise aussi que nous ne sommes pas "vaccinées" avec l'injection Covid, ni l'une ni l'autre.

Ma fille est restée en auto-isolation durant 10 jours dans notre appartement, comme prescrit par le médecin cantonal, sans avoir été voir un médecin ni avoir pris aucun médicament. Elle avait exactement les mêmes symptômes que moi en janvier 2020. Elle s'en est entièrement rétabli au bout d'une semaine et avait reçu son "pass" en tant que personne guérie du Covid19.

J'ai fait des autotests PCR reçus par mon assurance maladie durant toute cette semaine de maladie de ma fille et même après, et je n'ai pas contracté le Covid, les tests étaient négatifs.

Dernièrement j'ai été faire un test sérologique (prise sanguine) qui était négatif et qui certifie que je n'ai pas contracté le Covid19...

Je me demande si ces tests sérologiques sont fiables et qu'ils ne détectent plus des anticorps après 20 mois, car je suis immunisée contre le Covid. Je suis du groupe sanguin O+ et peut-être c'est ça qui me rend immune contre le Covid?

Dans tous les cas, je refuse cette injection "vaccin" expérimentale , ainsi que toute ma famille et je conseille à toutes les personnes qui n'ont pas encore été injectées de tenir bon, malgré toutes les interdictions et violations de nos droits fondamentaux de liberté.

Courage aussi aux personnes "vaccinées", car j'en connais des jeunes gens d'une trentaine d'années qui sont très malades (à vie) après avoir reçu ce "vaccin".

Il faudra du temps jusqu'à que toute la lumière soit faite sur cette soit disant pandémie Covid, mais j'ai confiance que cette justice arrivera un jour et que les psychopathes criminels responsables de tout ce mal, devront répondre de leurs actes.

Courage à tous ! »

Immunisée:

« Je fais partie des personnes qui ont eu le covid en "avant première" en mars 2020 : aucune prise en charge, pas de soins en dehors du fameux paracetamol. J'avais de gros problèmes respiratoires qui ont finalement été soignés mi-avril 2020 par un naturopathe qui m'a prescrit un antibiotique, du zinc, de la vitamine C et D. J'ai eu un peu de mal à récupérer, normal quand on n'est pas soigné. La sérologie a montré que j'ai des anticorps. Accessoirement j'ai été ensuite licenciée.

Depuis fin avril 2020, j'ai été à chaque fois testée négative et n'ai pas non plus eu de symptômes covid.

Je ne vois pas de raison "médicale" à me faire injecter un produit qui est encore au stade expérimental et qui ne "tiendrait" que 5-6 mois maximum - et encore - alors que mon immunité a parfaitement fonctionné depuis plus de 17 mois.

Autour de moi, un nombre assez important de gens doubles vaccinés sont déjà positifs avec symptômes (pendant quelques semaines pour certains) mais continuent à vaquer à leurs occupations (souvent sans aucun respect des gestes barrières) ou même partent en vacances (avec symptômes) parce qu'ils ont le fameux "pass".

Pourquoi l'immunité acquise après maladie n'est-elle pas reconnue ? Aux USA, des médecins et juristes commencent à réclamer la prise en compte de cette immunité qui, selon une étude israélienne, protégerait mieux que les "vaccins". Est-ce que d'autres personnes sont dans le même cas que moi ? Pourrions-nous créer un groupe et demander à un avocat de nous soutenir ?

Pourquoi n'impose-t-on pas une obligation de test une fois par semaine aux vaccinés et non vaccinés si l'on souhaite réellement mettre fin à cette "pandémie" ? »

Malade du Covid:

« J'ai été malade du Covid, test pcr positif et forts symptômes.

Après le 7ème jour, je ne sentais toujours pas d'amélioration j'ai alors consulté un médecin homéopathe qui m'a prescrit l'Ivermectine et l'Azythromicine en plus de la vit D, du zinc, et de la vit C que je prenais déjà.

12 heures après la prise du traitement je me suis sentie nettement mieux et 24 heures après j'étais guérie. Le seul regret que j'ai c'est de ne pas avoir pris ce traitement plus tôt ! »

Infirmière qui témoigne pour un ami:

« Je rapporte le témoignage d'une personne injectée à Espace Gruyère. C'est la 2ème fois que cette façon de faire m'est rapportée.

Homme testé positif en janvier 2021.
1ère injection en juillet 2021 dans une pharmacie: la dose à été inscrite dans son carnet de vaccination. 2ème dose en septembre 2021 à "Espace Gruyère" l'un des centre cantonal fribourgeois.

A la sortie de la procédure il reçoit son certificat. Par contre on lui refuse l'inscription de cette dose dans son carnet de vaccination. Surpris il demande des clarifications: "ordre du médecin cantonal selon les préposés sur place ».

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